Les secrets des jumeaux Sedin
Vancouver Canucks mardi, 24 févr. 2009. 13:34 jeudi, 12 déc. 2024. 19:54
À l'image de jumeaux identiques, Daniel et Henrik Sedin sont inséparables. Des rangs mineurs à la Ligue nationale, les frères suédois ont toujours joué au sein de la même équipe. Âgé maintenant de 28 ans, les Sedin représentent le coeur de l'attaque des Canucks.
«Nous avons joué ensemble pendant plusieurs années avant d'arriver avec les Canucks», indique Henrik Sedin. «C'est spécial pour nous de pouvoir continuer à évoluer pour la même équipe dans la LNH.»
«À l'extérieur de la patinoire, nous sommes plutôt discrets. On préfère rester à l'écart», raconte Daniel. «Henrik est davantage un passeur tandis que je préfère lancer, voilà la plus grande différence entre nous deux», explique Daniel qui compte 25 buts et 34 passes comparativement à 12 buts et 45 passes pour Henrik.
«Ce sont nos deux meilleurs joueurs offensifs. Ce sont eux qui génèrent le plus d'attaque», confie sans gêne l'entraîneur-chef Alain Vigneault.
Les frères Sedin en sont à leur huitième saison dans la Ligue nationale, mais il est toujours aussi difficile de les démêler.
«Je ne suis pas encore capable de les identifier. Je dois encore leur demander lequel est lequel quand ils ne portent pas leur numéro», rigole Vigneault.
«Nous n'avons jamais profité de nos ressemblances pour faire des blagues. On ne veut pas en faire une grosse histoire», précise Henrik.
«J'ai eu besoin d'une saison pour les différencier. Quand ils sont un à côté de l'autre, c'est plus facile. Mais j'avais de la difficulté quand j'en rencontrais un seulement», raconte le gardien Roberto Luongo.
«Ça nous arrive toujours, c'est normal», lance Daniel.
«Je suis correct maintenant. J'ai eu besoin de quelques mois pour y arriver. Quand je les regarde sur la glace, je peux les différencier facilement de la façon dont ils bougent ou ils lancent la rondelle», souligne Alex Burrows.
Mais quelles sont les différences entre Daniel et Henrik?
«C'est quand même assez facile, Henrik a un visage plus rond tandis que Daniel a un visage plus maigre», révèle Steve Bernier.
«Les premières fois, on cherche des trucs comme un joueur qui se rase alors tu peux savoir de lequel il s'agit pendant quelques jours», indique Burrows.
«Tu peux observer quelques petites différences entre les deux, mais il n'est pas question que je dévoile mes secrets», ajoute Luongo.
Au terme de la présente saison, Henrik et Daniel deviendront joueurs autonomes sans compensation. Ils sont à la recherche d'un contrat à long terme et ils souhaitent demeurer au sein de la même équipe afin de poursuivre leur carrière dans la Ligue nationale.
*D'après un reportage de Félix Séguin
«Nous avons joué ensemble pendant plusieurs années avant d'arriver avec les Canucks», indique Henrik Sedin. «C'est spécial pour nous de pouvoir continuer à évoluer pour la même équipe dans la LNH.»
«À l'extérieur de la patinoire, nous sommes plutôt discrets. On préfère rester à l'écart», raconte Daniel. «Henrik est davantage un passeur tandis que je préfère lancer, voilà la plus grande différence entre nous deux», explique Daniel qui compte 25 buts et 34 passes comparativement à 12 buts et 45 passes pour Henrik.
«Ce sont nos deux meilleurs joueurs offensifs. Ce sont eux qui génèrent le plus d'attaque», confie sans gêne l'entraîneur-chef Alain Vigneault.
Les frères Sedin en sont à leur huitième saison dans la Ligue nationale, mais il est toujours aussi difficile de les démêler.
«Je ne suis pas encore capable de les identifier. Je dois encore leur demander lequel est lequel quand ils ne portent pas leur numéro», rigole Vigneault.
«Nous n'avons jamais profité de nos ressemblances pour faire des blagues. On ne veut pas en faire une grosse histoire», précise Henrik.
«J'ai eu besoin d'une saison pour les différencier. Quand ils sont un à côté de l'autre, c'est plus facile. Mais j'avais de la difficulté quand j'en rencontrais un seulement», raconte le gardien Roberto Luongo.
«Ça nous arrive toujours, c'est normal», lance Daniel.
«Je suis correct maintenant. J'ai eu besoin de quelques mois pour y arriver. Quand je les regarde sur la glace, je peux les différencier facilement de la façon dont ils bougent ou ils lancent la rondelle», souligne Alex Burrows.
Mais quelles sont les différences entre Daniel et Henrik?
«C'est quand même assez facile, Henrik a un visage plus rond tandis que Daniel a un visage plus maigre», révèle Steve Bernier.
«Les premières fois, on cherche des trucs comme un joueur qui se rase alors tu peux savoir de lequel il s'agit pendant quelques jours», indique Burrows.
«Tu peux observer quelques petites différences entre les deux, mais il n'est pas question que je dévoile mes secrets», ajoute Luongo.
Au terme de la présente saison, Henrik et Daniel deviendront joueurs autonomes sans compensation. Ils sont à la recherche d'un contrat à long terme et ils souhaitent demeurer au sein de la même équipe afin de poursuivre leur carrière dans la Ligue nationale.
*D'après un reportage de Félix Séguin