M. Brodeur ne se pose pas de question
Hockey mercredi, 18 avr. 2012. 18:12 dimanche, 15 déc. 2024. 09:59
NEWARK, États-Unis - Assis sur le banc en deuxième période, après sa plus courte sortie en carrière en séries, Martin Brodeur ne s'est jamais demandé si l'entraîneur des Devils, Peter DeBoer, ferait appel à lui dans le match suivant face aux Panthers de la Floride.
Que ce soit de la confiance ou autre chose, le gagnant de trois coupes Stanley sait ce qu'il amène aux Devils: il est celui sur qui on peut compter quand la tempête se lève.
Les Devils savent que Brodeur va se remettre sur pieds après le revers de 4-3 subi mardi contre la Floride, qui prenait ainsi les devants 2-1 dans cette série de premier tour. Les hostilités reprendront jeudi, au New Jersey.
«Je m'attends toujours à disputer tous les matches, surtout en séries, a dit le gardien de 39 ans, mercredi, après que les Devils aient tenu un dynamique entraînement d'une heure. Je sais ce que je peux faire, et je vais tout donner à chaque fois.»
Brodeur a connu une rare mauvaise soirée lors du troisième match. Les Devils ont pris l'avance 3-0 après 6:16, mais le Québécois n'a pas su conserver cette priorité.
Les Panthers ont créé l'impasse à 2:18 au deuxième vingt, et c'est là que DeBoer a misé sur Johan Hedberg. Brodeur a dit que DeBoer a agi ainsi pour secouer l'équipe dans l'immédiat, après avoir bousillé cette avance de trois buts.
L'entraîneur des Panthers, Kevin Dineen, avait remplacé José Théodore par Scott Clemmensen, après la charge initiale des Devils. Clemmensen a stoppé 19 tirs durant le reste du match.
Hedberg n'a cédé que devant Brian Campbell, en avantage numérique, mais cela s'est avéré être le but vainqueur.
«Quand vous êtes un gardien, l'aspect mental a encore plus d'importance que pour les autres positions, a dit Brodeur, ajoutant que les gardiens sont scrutés à la loupe quand ils sont chassés d'un match. Un joueur typique qui a un mauvais match, c'est bien rare qu'il va passer le reste de la soirée sur le banc.
«Ça fait partie de ce que je suis ou de ce qu'un gardien doit vivre à répétition, a t-il poursuivi. Quand vous retournez devant le filet, vous l'avez en tête. Il faut juste se réhabituer et replonger dans l'action. Je sais comment me comporter. Je fais de mon mieux à tous les matches, mais des fois il y a des journées où ça ne fonctionne tout simplement pas.»
Que ce soit de la confiance ou autre chose, le gagnant de trois coupes Stanley sait ce qu'il amène aux Devils: il est celui sur qui on peut compter quand la tempête se lève.
Les Devils savent que Brodeur va se remettre sur pieds après le revers de 4-3 subi mardi contre la Floride, qui prenait ainsi les devants 2-1 dans cette série de premier tour. Les hostilités reprendront jeudi, au New Jersey.
«Je m'attends toujours à disputer tous les matches, surtout en séries, a dit le gardien de 39 ans, mercredi, après que les Devils aient tenu un dynamique entraînement d'une heure. Je sais ce que je peux faire, et je vais tout donner à chaque fois.»
Brodeur a connu une rare mauvaise soirée lors du troisième match. Les Devils ont pris l'avance 3-0 après 6:16, mais le Québécois n'a pas su conserver cette priorité.
Les Panthers ont créé l'impasse à 2:18 au deuxième vingt, et c'est là que DeBoer a misé sur Johan Hedberg. Brodeur a dit que DeBoer a agi ainsi pour secouer l'équipe dans l'immédiat, après avoir bousillé cette avance de trois buts.
L'entraîneur des Panthers, Kevin Dineen, avait remplacé José Théodore par Scott Clemmensen, après la charge initiale des Devils. Clemmensen a stoppé 19 tirs durant le reste du match.
Hedberg n'a cédé que devant Brian Campbell, en avantage numérique, mais cela s'est avéré être le but vainqueur.
«Quand vous êtes un gardien, l'aspect mental a encore plus d'importance que pour les autres positions, a dit Brodeur, ajoutant que les gardiens sont scrutés à la loupe quand ils sont chassés d'un match. Un joueur typique qui a un mauvais match, c'est bien rare qu'il va passer le reste de la soirée sur le banc.
«Ça fait partie de ce que je suis ou de ce qu'un gardien doit vivre à répétition, a t-il poursuivi. Quand vous retournez devant le filet, vous l'avez en tête. Il faut juste se réhabituer et replonger dans l'action. Je sais comment me comporter. Je fais de mon mieux à tous les matches, mais des fois il y a des journées où ça ne fonctionne tout simplement pas.»