"On va se battre jusqu'au bout"
Buffalo Sabres mercredi, 2 avr. 2008. 17:50 samedi, 14 déc. 2024. 23:38
MONTRÉAL - Les joueurs des Sabres de Buffalo se promettaient d'être devant la télé mercredi soir. Ils souhaitaient des défaites de Boston et de Philadelphie afin d'éviter l'élimination. Sinon, le match de jeudi soir au Centre Bell n'aurait plus aucune signification pour eux.
Mais peu importe le résultat de ces matchs, les Sabres auront démontré une force de caractère peu commune au cours des dernières semaines. A plusieurs reprises, ils sont parvenus à combler des déficits pour éviter la défaite. Ils ont réussi l'exploit pas plus tard que mardi à Toronto. Menés 3-1 par les Maple Leafs, les Sabres ont réussi à créer l'égalité puis à l'emporter aux tirs de barrage. Ils avaient déjà fait le coup aux Sénateurs d'Ottawa et au Lightning de Tampa Bay.
"Cette équipe est animée d'une volonté à toute épreuve, fait valoir Andrew Peters. On va se battre jusqu'au bout."
Selon Peters, c'est une question de leadership.
"Les plus vieux montrent le chemin et les jeunes ne demandent pas mieux que de suivre. Chaque joueur a son rôle", ajoute l'homme fort des Sabres.
"Les gars ont été déçus de perdre en finale d'association l'an dernier. Cette équipe a beaucoup de fierté et les joueurs voulaient se reprendre cette année."
Depuis trois ans, les Sabres ont été littéralement dépouillés de leurs meilleurs éléments. Jay McKee, Mike Greir, Jean-Pierre Dumont, Daniel Brière, Chris Drury et Dainus Zubrus ont tous profité de leur autonomie pour quitter Buffalo. Brian Campbell a été échangé cette année à la date limite des transactions alors que Teppo Numminen et Tim Connolly ont été contraints à l'inactivité pour cause de blessures.
"Chaque joueur a accepté de plus grandes responsabilités, dit Peters. Chaque joueur a élevé son jeu d'un cran. Ça part de Ryan (Miller) et ça va jusqu'aux avants."
D'après Peters, les Sabres forment une équipe "tricotée serrée".
"Je fais partie de cette équipe depuis 2003. Les joueurs ont toujours été très liés. C'est pourquoi nous avons du succès."
Les joueurs sont presque tous issus de l'organisation, ce qui contribue à les rapprocher. Ils sont également proches de la communauté, Buffalo n'étant pas une très grande ville.
Jason Pominville (27-52-79), de Repentigny, et Derek Roy (32-46-78), d'Ottawa, sont les meneurs de l'équipe. Ils sont bien appuyés par Thomas Vanek, Jochen Hecht, Ales Kotalik, Connolly, Drew Stafford, Daniel Paillé, Paul Gaustad, Steve Bernier, Maxim Afinogenov, Adam Mair, Jaroslav Spacek, Toni Lydman, Henrik Tallinder et Dmitri Kalinin, entre autres.
"Cette équipe ne va jamais perdre sans avoir livré un bon combat", assure Peters.
Mais peu importe le résultat de ces matchs, les Sabres auront démontré une force de caractère peu commune au cours des dernières semaines. A plusieurs reprises, ils sont parvenus à combler des déficits pour éviter la défaite. Ils ont réussi l'exploit pas plus tard que mardi à Toronto. Menés 3-1 par les Maple Leafs, les Sabres ont réussi à créer l'égalité puis à l'emporter aux tirs de barrage. Ils avaient déjà fait le coup aux Sénateurs d'Ottawa et au Lightning de Tampa Bay.
"Cette équipe est animée d'une volonté à toute épreuve, fait valoir Andrew Peters. On va se battre jusqu'au bout."
Selon Peters, c'est une question de leadership.
"Les plus vieux montrent le chemin et les jeunes ne demandent pas mieux que de suivre. Chaque joueur a son rôle", ajoute l'homme fort des Sabres.
"Les gars ont été déçus de perdre en finale d'association l'an dernier. Cette équipe a beaucoup de fierté et les joueurs voulaient se reprendre cette année."
Depuis trois ans, les Sabres ont été littéralement dépouillés de leurs meilleurs éléments. Jay McKee, Mike Greir, Jean-Pierre Dumont, Daniel Brière, Chris Drury et Dainus Zubrus ont tous profité de leur autonomie pour quitter Buffalo. Brian Campbell a été échangé cette année à la date limite des transactions alors que Teppo Numminen et Tim Connolly ont été contraints à l'inactivité pour cause de blessures.
"Chaque joueur a accepté de plus grandes responsabilités, dit Peters. Chaque joueur a élevé son jeu d'un cran. Ça part de Ryan (Miller) et ça va jusqu'aux avants."
D'après Peters, les Sabres forment une équipe "tricotée serrée".
"Je fais partie de cette équipe depuis 2003. Les joueurs ont toujours été très liés. C'est pourquoi nous avons du succès."
Les joueurs sont presque tous issus de l'organisation, ce qui contribue à les rapprocher. Ils sont également proches de la communauté, Buffalo n'étant pas une très grande ville.
Jason Pominville (27-52-79), de Repentigny, et Derek Roy (32-46-78), d'Ottawa, sont les meneurs de l'équipe. Ils sont bien appuyés par Thomas Vanek, Jochen Hecht, Ales Kotalik, Connolly, Drew Stafford, Daniel Paillé, Paul Gaustad, Steve Bernier, Maxim Afinogenov, Adam Mair, Jaroslav Spacek, Toni Lydman, Henrik Tallinder et Dmitri Kalinin, entre autres.
"Cette équipe ne va jamais perdre sans avoir livré un bon combat", assure Peters.