Aucune défaite en douze ans contre eux

Comme c’était le cas face aux anciens Jets de Winnipeg, on peut dire que le Canadien a vraiment le numéro des Coyotes de Phoenix, depuis qu’ils ont été transférés, à la fin de la saison 1995–1996.



En effet, le Tricolore présente un superbe rendement à vie de 42–12-9 (0) en 63 matchs contre cette formation, une moyenne de réussite de ,738, ce qui est tout simplement phénoménal, car c’est une moyenne de près de trois victoires par tranche de quatre matchs.

La fiche du Canadien face aux anciens Jets de Winnipeg a été de 31–10-5 (moyenne de ,728), comparativement à 11–2-4 (moyenne de ,765) en 17 matchs, depuis le transfert de l’équipe à Phoenix.

Soulignons que le Canadien a une fiche de 9–0-3 (0) lors de ses 12 derniers matchs contre cette équipe et son dernier revers remonte aussi loin que le 9 décembre 1998, 4 à 2, sur la patinoire de ces derniers, où son rendement est de 4–0-1 (0) lors de ses cinq dernières rencontres.

Le gardien Carey Price a lui aussi connu du succès contre cette formation, affichant un dossier parfait de 4–0-0 (0) avec une superbe moyenne de 1,74 et une très haute efficacité de ,940, en quatre rencontres.

Est-ce que le Canadien et Price vont poursuivre leur domination sur cette équipe en ce jeudi, 10 novembre 2011 ?

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Parfaits contre l’est, les Oilers affrontent leur bête noire, les Bruins de Boston



Affichant un dossier parfait contre les formations de l’Association de l’Est, les Oilers d’Edmonton tenteront de maintenir cette excellence, eux qui affrontent leur bête noire, les Bruins de Boston.

En effet, depuis leur entrée dans la Ligue nationale en 1979–1980, les Oilers d’Edmonton n’ont jamais connu beaucoup de succès face aux Bruins de Boston, autant à domicile que sur la patinoire de ces derniers.

Les Oilers ont un rendement de 4–0-0 dans leurs quatre matchs disputés contre les équipes de l’Association de l’Est, ne concédant que trois maigres buts, ayant triomphé des Penguins de Pittsburgh, 2 à 1, en tirs de barrage, le 9 octobre, des Rangers de New York, 2 à 0, le 22 octobre, des Capitals de Washington, 2 à 1, le 27 octobre et du Canadien de Montréal, 3 à 1, mardi soir.

La formation dirigée par Tom Renney présente un rendement à vie de 17–38-6 (3) en 64 matchs, une moyenne de réussite de seulement ,336, ce qui est vraiment pitoyable et c’est la formation contre laquelle elle a connu le plus de difficulté dans son histoire.

Pis, sur la glace de la formation de Claude Julien, les Oilers ont une fiche à vie de 6–23-3 (1), une moyenne de ,250, ce qui équivaut à une victoire par quatre matchs.

Est-ce que cette jeune équipe va faire meilleure figure sur la patinoire des actuels champions de la coupe Stanley, en ce jeudi, 10 novembre 2011 ?

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Le jeu de puissance des Blackhawks de Chicago est au dernier rang de la LNH !



Qui aurait pensé que le jeu de puissance des Blackhawks de Chicago, se classerait au dernier rang de la Ligue nationale de hockey, après plus d‘un mois du calendrier régulier ?

C’est pourtant la réalité, car malgré l’abondance de talent en attaque, la troupe de Joel Quenneville n’a pu faire mieux, lors de ses 15 premiers matchs, qu’un rendement de seulement cinq buts en 57 supériorités numériques, une piètre efficacité de 8,77%, pire que celle des misérables Blue Jackets de Columbus (9,23%), eux qui n’ont réussi que six buts en 65 supériorités et aussi des Blues de Saint Louis (9,52%), n’ayant marqué que quatre buts en 42 avantages numériques.

Pour les Blackhawks, ce rendement n’est nullement à l’image de celui de l’an dernier, eux qui avaient présenté un rendement de 23,10% (64 buts en 277 supériorités), le quatrième meilleur du circuit.

Il faut mentionner qu’ils ont échangé Dustin Byfuglien, l’an dernier et Brian Campbell cette année, sans oublier que l’arrière-garde Duncan Keith, qui a raté trois des quatre derniers matchs, n’a pas été en mesure de produire les résultats souhaités, affichant un dossier de 0–6-6 en 12 rencontres.

Les cinq buts en avantage numérique des Blackhawks ont été marqués par des attaquants et c’est l’illustre Andrew Brunette qui domine avec deux filets, un de plus que Marian Hossa, Patrick Sharp et Jonathan Toews.

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