Quick ne changera rien à sa routine
Hockey mardi, 29 mai 2012. 20:26 vendredi, 13 déc. 2024. 22:29
NEWARK, États-Unis - Jonathan Quick a probablement fait face à la plus grosse horde de journalistes de ses cinq saisons dans la LNH, mardi.
Le gardien des Kings de Los Angeles a cependant toujours laissé ses statistiques impressionnantes parler d'elles-mêmes, lui qui a connu une saison digne d'un trophée Vézina et qui ne voit aucune raison de changer quoi que ce soit à sa routine à l'aube de la finale de la Coupe Stanley.
Et il est certainement plus confortable dans son demi-cercle que devant une foule de micros et de caméras.
Quick, natif du Connecticut et choix de cinquième ronde des Kings à l'encan de 2005, est en quelque sorte de retour chez lui au New Jersey, alors qu'il se prépare à affronter les Devils en grande finale.
Son souvenir de hockey le plus clair remonte à 1994, lors de la finale de l'Est alors que les Rangers de New York avec Mike Richter dans les buts avaient eu le dessus sur Martin Brodeur et les Devils en sept matchs, dans une série qui a véritablement lancé les hostilités entre les deux équipes.
«Je comptais contre Marty (Brodeur) dans cette série-là, a mentionné Quick. Mais c'était une bonne bataille. Je m'en souviens très bien.»
Maintenant que Quick a atteint la dernière ronde, presque 20 ans plus tard, l'homme qui tentera de l'empêcher de soulever la coupe Stanley sera ce même Brodeur, qui vient tout juste d'éliminer les Rangers en finale de l'Est.
En séries, Quick a été expéditif contre les Canucks de Vancouver, les Blues de St. Louis et les Coyotes de Phoenix, qui se trouvaient à être les trois meilleures équipes dans l'Ouest au terme du calendrier régulier. Les Kings se sont taillés une place en séries de justesse en terminant au huitième rang du classement, mais depuis qu'ils y sont, ils ont écrasé toutes les équipes qui se sont retrouvées sur leur chemin.
Quick présente une fiche de 12-2 en séries, avec une minuscule moyenne de buts alloués (1,54) et un pourcentage d'efficacité de ,946. En 14 matchs, il n'a concédé que 22 buts.
«En plus, c'est un gars très discret, a déclaré l'attaquant Justin Williams par rapport à son gardien. Ce n'est pas le genre de personne qui va dire à tout le monde 'Regardez-moi! Regardez-moi!'. Pour lui l'équipe passe vraiment avant tout, et c'est une de ses plus grandes qualités. Je crois que les gens commencent à se rendre compte à quel point c'est un bon gars et à quel point il est talentueux. Ce n'est plus un secret pour personne.»
Brodeur en a lui aussi pris bonne note, lui qui a également fait remarquer qu'il n'a jamais été aussi flexible que Quick, âgé de 26 ans.
«Et ce n'est pas à 40 ans que ça va s'améliorer!», a rigolé Brodeur.
Le gardien des Kings de Los Angeles a cependant toujours laissé ses statistiques impressionnantes parler d'elles-mêmes, lui qui a connu une saison digne d'un trophée Vézina et qui ne voit aucune raison de changer quoi que ce soit à sa routine à l'aube de la finale de la Coupe Stanley.
Et il est certainement plus confortable dans son demi-cercle que devant une foule de micros et de caméras.
Quick, natif du Connecticut et choix de cinquième ronde des Kings à l'encan de 2005, est en quelque sorte de retour chez lui au New Jersey, alors qu'il se prépare à affronter les Devils en grande finale.
Son souvenir de hockey le plus clair remonte à 1994, lors de la finale de l'Est alors que les Rangers de New York avec Mike Richter dans les buts avaient eu le dessus sur Martin Brodeur et les Devils en sept matchs, dans une série qui a véritablement lancé les hostilités entre les deux équipes.
«Je comptais contre Marty (Brodeur) dans cette série-là, a mentionné Quick. Mais c'était une bonne bataille. Je m'en souviens très bien.»
Maintenant que Quick a atteint la dernière ronde, presque 20 ans plus tard, l'homme qui tentera de l'empêcher de soulever la coupe Stanley sera ce même Brodeur, qui vient tout juste d'éliminer les Rangers en finale de l'Est.
En séries, Quick a été expéditif contre les Canucks de Vancouver, les Blues de St. Louis et les Coyotes de Phoenix, qui se trouvaient à être les trois meilleures équipes dans l'Ouest au terme du calendrier régulier. Les Kings se sont taillés une place en séries de justesse en terminant au huitième rang du classement, mais depuis qu'ils y sont, ils ont écrasé toutes les équipes qui se sont retrouvées sur leur chemin.
Quick présente une fiche de 12-2 en séries, avec une minuscule moyenne de buts alloués (1,54) et un pourcentage d'efficacité de ,946. En 14 matchs, il n'a concédé que 22 buts.
«En plus, c'est un gars très discret, a déclaré l'attaquant Justin Williams par rapport à son gardien. Ce n'est pas le genre de personne qui va dire à tout le monde 'Regardez-moi! Regardez-moi!'. Pour lui l'équipe passe vraiment avant tout, et c'est une de ses plus grandes qualités. Je crois que les gens commencent à se rendre compte à quel point c'est un bon gars et à quel point il est talentueux. Ce n'est plus un secret pour personne.»
Brodeur en a lui aussi pris bonne note, lui qui a également fait remarquer qu'il n'a jamais été aussi flexible que Quick, âgé de 26 ans.
«Et ce n'est pas à 40 ans que ça va s'améliorer!», a rigolé Brodeur.