Ron Wilson passe son message à Kessel
Toronto Maple Leafs jeudi, 7 janv. 2010. 16:04 mercredi, 11 déc. 2024. 19:47
Si Phil Kessel ne tient pas le registre de ses statistiques personnelles, son entraîneur Ron Wilson s'est chargé de lui offrir une petite mise à jour lors de l'entraînement des Maple Leafs de Toronto jeudi.
Alors que son équipe patinait sous les regards attentifs des membres des médias torontois, dont ceux de notre station-sœur TSN, Wilson a rappelé à Kessel en criant à pleine gorge qu'il n'avait marqué qu'un but à ses dix derniers matchs, utilisant notamment un célèbre mot de quatre lettres commençant par "F".
"Je pourrais viser un paquet de joueurs, mais il est notre meilleur, a répondu Wilson après la pratique quand on lui a demandé pourquoi il avait décidé de s'en prendre personnellement à Kessel. Souvent, c'est le genre de message qu'il faut passer."
L'entraîneur des Leafs, qui montrent une fiche de 3-5-2 à leurs dix derniers matchs, a ensuite redirigé sa rage sur l'une de ses cibles favorites : les journalistes.
"Vous ne devriez même pas assister à nos entraînements. Le hockey est le seul sport professionnel où les journalistes peuvent rapporter ce que les entraîneurs disent aux joueurs sur le champ de bataille. Vous ne pouvez pas faire ça au football, au baseball ou au basketball. La patinoire, c'est notre bureau et vous ne devriez pas y avoir accès."
Alors que son équipe patinait sous les regards attentifs des membres des médias torontois, dont ceux de notre station-sœur TSN, Wilson a rappelé à Kessel en criant à pleine gorge qu'il n'avait marqué qu'un but à ses dix derniers matchs, utilisant notamment un célèbre mot de quatre lettres commençant par "F".
"Je pourrais viser un paquet de joueurs, mais il est notre meilleur, a répondu Wilson après la pratique quand on lui a demandé pourquoi il avait décidé de s'en prendre personnellement à Kessel. Souvent, c'est le genre de message qu'il faut passer."
L'entraîneur des Leafs, qui montrent une fiche de 3-5-2 à leurs dix derniers matchs, a ensuite redirigé sa rage sur l'une de ses cibles favorites : les journalistes.
"Vous ne devriez même pas assister à nos entraînements. Le hockey est le seul sport professionnel où les journalistes peuvent rapporter ce que les entraîneurs disent aux joueurs sur le champ de bataille. Vous ne pouvez pas faire ça au football, au baseball ou au basketball. La patinoire, c'est notre bureau et vous ne devriez pas y avoir accès."