Sentiment de vide chez les Oilers
Hockey mardi, 20 juin 2006. 09:34 jeudi, 12 déc. 2024. 03:30
RALEIGH (PC) - Dans le vestiaire des Oilers, les Québécois Marc-André Bergeron et Georges Laraque fixaient le sol en habits de rue. Un grand sentiment de vide les envahissait.
Laraque, a indiqué qu'il n'y a rien qui fasse plus mal que de perdre de la sorte, si près de l'objectif ultime. Selon lui, c'est mieux de manquer les séries éliminatoires que de perdre le septième match de la finale. Quant au jeune défenseur Bergeron, il affichait une mine tout autant déconfite.
Le Trifluvien pensait notamment aux efforts de son équipe et des épreuves surmontées, pour en arriver là un 19 juin. Bergeron a dit qu'il venait de vivre le match le plus stressant de sa carrière, à titre de spectateur. Il était convaincu que les Oilers allaient l'emporter.
Il a tout de même tenu à rendre hommage aux Hurricanes.
[[PUBPC]]
Laraque, a indiqué qu'il n'y a rien qui fasse plus mal que de perdre de la sorte, si près de l'objectif ultime. Selon lui, c'est mieux de manquer les séries éliminatoires que de perdre le septième match de la finale. Quant au jeune défenseur Bergeron, il affichait une mine tout autant déconfite.
Le Trifluvien pensait notamment aux efforts de son équipe et des épreuves surmontées, pour en arriver là un 19 juin. Bergeron a dit qu'il venait de vivre le match le plus stressant de sa carrière, à titre de spectateur. Il était convaincu que les Oilers allaient l'emporter.
Il a tout de même tenu à rendre hommage aux Hurricanes.
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