Sidney Crosby prêt à reprendre sa place
Hockey mardi, 15 janv. 2013. 17:07 jeudi, 12 déc. 2024. 04:23
Sidney Crosby (Photo PC)
PITTSBURGH - Les maux de tête sont maintenant chose du passé pour Sidney Crosby. Les doutes aussi, ces doutes qui continuaient de l'habiter pendant sa rééducation, après que des commotions cérébrales aient assombri sa carrière pendant deux ans. Il n'y a rien d'amusant à se lever le lendemain d'un dur entraînement en se demandant si la journée finira dans la douleur.
Ces craintes ont disparu, insiste le capitaine des Penguins. Elles se sont dissipées au fil de l'été dernier, quand Crosby est allé au-delà de ses limites pour redevenir le joueur qu'il était quand deux mises en échec à la tête ont mis sa carrière en péril, en janvier 2011.
Après les commotions il a connu un retour spectaculaire avec deux buts et deux passes contre les Islanders, le 21 novembre 2011, mais la brume est revenue le mois suivant.
Il y a eu la séquence de 12 matchs sans but en mars, et la peur des risques à chaque fois qu'il s'exposait à un dur contact avec un rival. Et puis est venue l'élimination en six matchs au premier tour des séries, contre Philadelphie.
Crosby a fourni trois buts et trois passes dans cette série, mais il a aussi été sur la glace lors de nombreux buts de l'adversaire. L'élimination fait encore mal mais en même temps, le principal intéressé ne veut pas trop s'en faire avec ça.
« Je ne pense pas que je voulais en faire trop, a dit Crosby. J'avais passé beaucoup de temps à l'écart, et c'est très dur d'élever son jeu à un niveau digne des séries dans ces cas-là. C'est sûr que je pense pouvoir en offrir plus, mais je ne devrais pas me blâmer de ne pas avoir marqué un peu plus souvent. »
L'athlète de 25 ans a signé en juin 2012 une prolongation de contrat de 104,4 M$ pour 12 ans. Il veut maintenant redevenir le Sidney Crosby qu'on connaît.
Voulant redémarrer sa carrière sans tarder, Crosby est arrivé à Pittsburgh vers la fin de l'été, prêt à se mettre au travail, mais un lock-out de près de quatre mois a retardé ses plans.
Les questions sur le conflit de travail ont fait place à d'autres plus habituelles, mais les réponses ne sont pas plus faciles pour autant. Peut-il redevenir le joueur qu'il était il y a 25 mois? Crosby lui-même ne le sait pas, mais il comprend l'interrogation.
Personne n'est toutefois plus exigeant envers Crosby que Crosby lui-même et, en ce moment, ce qu'il veut par dessus tout, c'est ramener la coupe à Pittsburgh.
« La plupart du temps la pression que je ressens est celle que je m'impose moi-même, a dit Crosby. Je pense que ç'a toujours été un peu comme ça. J'ai de hautes attentes, tout comme mon équipe a de hautes attentes. Ça ne change pas vraiment. »
Ces craintes ont disparu, insiste le capitaine des Penguins. Elles se sont dissipées au fil de l'été dernier, quand Crosby est allé au-delà de ses limites pour redevenir le joueur qu'il était quand deux mises en échec à la tête ont mis sa carrière en péril, en janvier 2011.
Après les commotions il a connu un retour spectaculaire avec deux buts et deux passes contre les Islanders, le 21 novembre 2011, mais la brume est revenue le mois suivant.
Il y a eu la séquence de 12 matchs sans but en mars, et la peur des risques à chaque fois qu'il s'exposait à un dur contact avec un rival. Et puis est venue l'élimination en six matchs au premier tour des séries, contre Philadelphie.
Crosby a fourni trois buts et trois passes dans cette série, mais il a aussi été sur la glace lors de nombreux buts de l'adversaire. L'élimination fait encore mal mais en même temps, le principal intéressé ne veut pas trop s'en faire avec ça.
« Je ne pense pas que je voulais en faire trop, a dit Crosby. J'avais passé beaucoup de temps à l'écart, et c'est très dur d'élever son jeu à un niveau digne des séries dans ces cas-là. C'est sûr que je pense pouvoir en offrir plus, mais je ne devrais pas me blâmer de ne pas avoir marqué un peu plus souvent. »
L'athlète de 25 ans a signé en juin 2012 une prolongation de contrat de 104,4 M$ pour 12 ans. Il veut maintenant redevenir le Sidney Crosby qu'on connaît.
Voulant redémarrer sa carrière sans tarder, Crosby est arrivé à Pittsburgh vers la fin de l'été, prêt à se mettre au travail, mais un lock-out de près de quatre mois a retardé ses plans.
Les questions sur le conflit de travail ont fait place à d'autres plus habituelles, mais les réponses ne sont pas plus faciles pour autant. Peut-il redevenir le joueur qu'il était il y a 25 mois? Crosby lui-même ne le sait pas, mais il comprend l'interrogation.
Personne n'est toutefois plus exigeant envers Crosby que Crosby lui-même et, en ce moment, ce qu'il veut par dessus tout, c'est ramener la coupe à Pittsburgh.
« La plupart du temps la pression que je ressens est celle que je m'impose moi-même, a dit Crosby. Je pense que ç'a toujours été un peu comme ça. J'ai de hautes attentes, tout comme mon équipe a de hautes attentes. Ça ne change pas vraiment. »