Souray boude à Edmonton
Edmonton Oilers vendredi, 30 nov. 2007. 16:53 vendredi, 13 déc. 2024. 20:39
L'absence de Sheldon Souray se prolonge. Blessé à l'épaule gauche lors d'un combat le 13 octobre dernier, il devait à l'époque rater de trois à quatre semaines d'activité, mais n'est toujours pas prêt à effectuer un retour au jeu.
Lors d'un récent passage de RDS à Edmonton, Souray a refusé de s'adresser au journaliste montréalais. Il s'est dit frustré par sa blessure et a mentionné qu'il avait rencontré les journalistes quelques jours auparavant.
Ses coéquipiers ont salué les qualités de leader de l'ancien défenseur du Canadien.
"Il est vraiment aimé et il a été accepté facilement ici, fait savoir Mathieu Garon. Les gars l'ont apprécié dès le premier jour qu'il est arrivé. Il amène de la bonne humeur et sur la glace, il est un favori de la foule."
Souray n'est pas le seul éclopé
Craig MacTavish a vu ses Oilers être frappés par la malchance. Les blessures aux Souray, Pitkanen, Pisani, Greene et Moreau ont ralenti les ardeurs de la deuxième équipe la plus jeune de la Ligue nationale.
"C'est sûr que ça fait une grosse différence quand il y a toujours des rappels, des nouveaux, des jeunes joueurs, constate Garon. On a déjà deux ou trois jeunes défenseurs dans l'équipe, je pense que ça fait une grosse différence."
Si la défensive est mal en point, l'attaque, elle, ne produit pas. Ales Hemsky déçoit alors que Dustin Penner ne répond pas aux attentes après avoir signé un contrat de 21 millions de dollars à titre de joueur autonome avec compensation.
"Je suis insatisfait de mon début de saison, ne se cache pas Penner. Il faut que je retrouve le niveau de jeu qui me caractérise."
"Ils ont été engagés pour marquer des buts et quand tu ne produis pas, ce sont évidemment ces joueurs qui sont pointés du doigts", affirme Garon.
L'ancien du Canadien ne marque peut-être pas de buts, mais il connaît du succès à ses débuts à Edmonton. Malgré les carences de l'équipe en défensive, Garon présente de meilleures statistiques que Dwayne Roloson.
"Ils sont venus me chercher pour une raison. Ils voulaient que je joue des matchs, mais je veux en jouer le plus possible."
L'avenir des Oilers a un nom : Sam Gagner. Premier choix de l'équipe au dernier repêchage, le centre de 18 ans a encore beaucoup à apprendre, mais son talent est indéniable.
"Les vétérans de l'équipe m'aident beaucoup dans mon développement. Sans eux, j'aurais eu plus de difficulté", croit Gagner.
Lors d'un récent passage de RDS à Edmonton, Souray a refusé de s'adresser au journaliste montréalais. Il s'est dit frustré par sa blessure et a mentionné qu'il avait rencontré les journalistes quelques jours auparavant.
Ses coéquipiers ont salué les qualités de leader de l'ancien défenseur du Canadien.
"Il est vraiment aimé et il a été accepté facilement ici, fait savoir Mathieu Garon. Les gars l'ont apprécié dès le premier jour qu'il est arrivé. Il amène de la bonne humeur et sur la glace, il est un favori de la foule."
Souray n'est pas le seul éclopé
Craig MacTavish a vu ses Oilers être frappés par la malchance. Les blessures aux Souray, Pitkanen, Pisani, Greene et Moreau ont ralenti les ardeurs de la deuxième équipe la plus jeune de la Ligue nationale.
"C'est sûr que ça fait une grosse différence quand il y a toujours des rappels, des nouveaux, des jeunes joueurs, constate Garon. On a déjà deux ou trois jeunes défenseurs dans l'équipe, je pense que ça fait une grosse différence."
Si la défensive est mal en point, l'attaque, elle, ne produit pas. Ales Hemsky déçoit alors que Dustin Penner ne répond pas aux attentes après avoir signé un contrat de 21 millions de dollars à titre de joueur autonome avec compensation.
"Je suis insatisfait de mon début de saison, ne se cache pas Penner. Il faut que je retrouve le niveau de jeu qui me caractérise."
"Ils ont été engagés pour marquer des buts et quand tu ne produis pas, ce sont évidemment ces joueurs qui sont pointés du doigts", affirme Garon.
L'ancien du Canadien ne marque peut-être pas de buts, mais il connaît du succès à ses débuts à Edmonton. Malgré les carences de l'équipe en défensive, Garon présente de meilleures statistiques que Dwayne Roloson.
"Ils sont venus me chercher pour une raison. Ils voulaient que je joue des matchs, mais je veux en jouer le plus possible."
L'avenir des Oilers a un nom : Sam Gagner. Premier choix de l'équipe au dernier repêchage, le centre de 18 ans a encore beaucoup à apprendre, mais son talent est indéniable.
"Les vétérans de l'équipe m'aident beaucoup dans mon développement. Sans eux, j'aurais eu plus de difficulté", croit Gagner.