Steve Bégin est moulé pour les Bruins
Boston Bruins jeudi, 3 sept. 2009. 15:21 vendredi, 13 déc. 2024. 20:21
Steve Bégin a tourné la page sur son passage avec le Canadien de Montréal. Le combatif attaquant entrevoit avec beaucoup d'optimisme le défi qui se présente à lui avec les Bruins de Boston.
Lors de l'ouverture du marché des joueurs autonomes le 1er juillet dernier, Bégin n'aura pas attendu très longtemps avant de s'entendre avec une équipe. Après une courte négociation de 15 minutes avec les Bruins, le tout était réglé. Il faut dire que les Bruins sont faits sur mesure pour l'attaquant de 31 ans.
«C'était la première équipe avec laquelle je voulais poursuivre ma carrière», confie Bégin. «Il s'agit d'une équipe à mon image avec un style très énergique, physique et agressif.»
La présence de Claude Julien derrière le banc des Bruins a aussi influencé le choix du sympathique patineur originaire de Trois-Rivières. Le pilote des Bruins a dirigé Bégin de 2003 à 2006 avec le Canadien.
«Je pense que j'ai connu mes meilleures années à Montréal sous ses ordres», se souvient Bégin. «Il m'a téléphoné la journée que j'ai signé avec les Bruins et il était content. De plus, il sait à quoi s'attendre de moi et je le connais bien également.»
Après avoir porté le numéro 44 avec les Stars, Bégin aura un nouveau numéro avec les Bruins. Il portera le 27 étant donné que son numéro préféré, le 22, appartient à Shawn Thornton. Mais est-ce que le choix du numéro 27 fait référence à Alex Kovalev?
«Ce n'est pas la première fois que j'entends cette remarque. Est-ce qu'il portait le numéro 27?», demande Bégin en rigolant. «Non, il n'y a aucune raison spécifique et je ne pense pas devenir un Alex Kovalev et qu'on m'appelle le magicien », ajoute-t-il à la blague.
En acceptant un contrat avec les Bruins, Bégin est donc passé chez l'ennemi juré du Canadien. Au total, il affrontera son ancienne équipe six fois durant la saison 2009-10.
«Je n'ai rien contre le Canadien. C'est certain que j'ai hâte de jouer contre eux et surtout à Montréal. Mais nous avons quand même 82 matchs à disputer dans une saison», affirme Bégin.
Grâce à sa combativité et sa fougue, Bégin est devenu l'un des préférés de la foule à Montréal. Parions qu'il recevra un bel accueil des partisans à son retour au Centre Bell le 4 décembre.
D'après un reportage de Félix Séguin
Lors de l'ouverture du marché des joueurs autonomes le 1er juillet dernier, Bégin n'aura pas attendu très longtemps avant de s'entendre avec une équipe. Après une courte négociation de 15 minutes avec les Bruins, le tout était réglé. Il faut dire que les Bruins sont faits sur mesure pour l'attaquant de 31 ans.
«C'était la première équipe avec laquelle je voulais poursuivre ma carrière», confie Bégin. «Il s'agit d'une équipe à mon image avec un style très énergique, physique et agressif.»
La présence de Claude Julien derrière le banc des Bruins a aussi influencé le choix du sympathique patineur originaire de Trois-Rivières. Le pilote des Bruins a dirigé Bégin de 2003 à 2006 avec le Canadien.
«Je pense que j'ai connu mes meilleures années à Montréal sous ses ordres», se souvient Bégin. «Il m'a téléphoné la journée que j'ai signé avec les Bruins et il était content. De plus, il sait à quoi s'attendre de moi et je le connais bien également.»
Après avoir porté le numéro 44 avec les Stars, Bégin aura un nouveau numéro avec les Bruins. Il portera le 27 étant donné que son numéro préféré, le 22, appartient à Shawn Thornton. Mais est-ce que le choix du numéro 27 fait référence à Alex Kovalev?
«Ce n'est pas la première fois que j'entends cette remarque. Est-ce qu'il portait le numéro 27?», demande Bégin en rigolant. «Non, il n'y a aucune raison spécifique et je ne pense pas devenir un Alex Kovalev et qu'on m'appelle le magicien », ajoute-t-il à la blague.
En acceptant un contrat avec les Bruins, Bégin est donc passé chez l'ennemi juré du Canadien. Au total, il affrontera son ancienne équipe six fois durant la saison 2009-10.
«Je n'ai rien contre le Canadien. C'est certain que j'ai hâte de jouer contre eux et surtout à Montréal. Mais nous avons quand même 82 matchs à disputer dans une saison», affirme Bégin.
Grâce à sa combativité et sa fougue, Bégin est devenu l'un des préférés de la foule à Montréal. Parions qu'il recevra un bel accueil des partisans à son retour au Centre Bell le 4 décembre.
D'après un reportage de Félix Séguin