Toews et Kane sont en panne sèche
Chicago Blackhawks mardi, 1 juin 2010. 21:21 jeudi, 12 déc. 2024. 06:38
PHILADELPHIE - Qui aurait cru qu'à un moment donné en finale de la coupe Stanley, les Blackhawks de Chicago auraient plus de victoires que Patrick Kane et Jonathan Toews totalisent de points ensemble?
C'est pourtant la réalité des Blackhawks à la suite des deux premiers matchs de la finale disputés à domicile.
Kane et Toews ne noircissent pas les feuilles de pointage. Aucun point, même pas une passe. Ils ont à peine touché à la rondelle de leurs bâtons.
Dans une série au cours de laquelle le gardien Antti Niemi et plusieurs joueurs de soutien ont permis aux Hawks de se forger une avance de 2-0 face aux Flyers de Philadelphie, Kane et Toews n'ont pas encore joué un rôle important afin d'aider l'équipe à remporter un premier championnat depuis 1961.
"Ce n'est pas toujours au gros trio de produire à l'attaque, a souligné l'entraîneur Joel Quenneville, mardi. On fonctionne par comité, comme équipe, l'attaque peut provenir de plusieurs sources. La défense peut même y mettre son grain de sel."
Vrai, mais de miser sur une meilleure production du duo dans l'amphithéâtre hostile de Philadelphie pourrait s'avérer utile afin de restreindre la pression sur les joueurs qui ne sont pas censés contribuer offensivement.
Mais gagner est tout ce qui compte pour Kane et Toews. Même si ça implique qu'ils n'amassent pas un seul point, en autant qu'ils soulèvent la coupe.
Le duo qui peut exploser à tout moment était introuvable, mardi, ayant pris congé des médias.
Kane n'a pas fait mouche dans six matchs d'affilée. Toews n'a pas marqué en quatre rencontres.
Malgré cela, les Hawks ont gagné leurs sept derniers matchs et 10 de leurs 11 derniers.
"Ils font tellement plus pour nous que remplir le filet, a mentionné l'attaquant Patrick Sharp. Nous ne sommes aucunement préoccupés. Nous le répétons depuis le début des séries: on se fout de qui marque els buts en autant que nous gagnons. Nous avons quatre trios qui peuvent apporter leur touche à l'attaque, et c'est la raison pour laquelle nous sommes rendus ici."
Toews a souligné après la victoire de 2-1 des siens, lundi, que la profondeur avait amené les Blackhawks loin en séries.
"La pression ne repose pas que sur nous, ce qui est positif", a-t-il observé.
Kane a dit qu'il veut accomplir quelque chose d'exceptionnel en finale de la Coupe Stanley, mais il ne se laisse pas affecter par son manque de production.
"Je le serais (affecté) si nous n'étions pas en avant 2-0 dans la série", a-t-il avoué.
Les Blackhawks ne sont pas intimidés d'aller jouer dans l'enfer orange du Wachovia Center. Ils sont à l'aise à l'étranger, comme le montre leur fiche de 7-1 ce printemps.
Mais les Flyers affichent le même rendement à la maison au cours de la même période.
"Nous avons fait du bon travail afin de stopper leur meilleur trio, mais nous devons maîtriser les autres trios", a noté le défenseur Chris Pronger, lundi soir.
Les Flyers ont une énorme côte à remonter. Seulement deux équipes en 33 occasions ont perdu en finale après avoir gagné les deux premiers matchs. Et seulement quatre équipes ont surmonté un retard de 0-2 en finale.
"Nous nous sommes placés dans une situation exigeant que nous jouions à partir de maintenant avec un très fort sentiment d'urgence", a résumé Daniel Brière.
C'est pourtant la réalité des Blackhawks à la suite des deux premiers matchs de la finale disputés à domicile.
Kane et Toews ne noircissent pas les feuilles de pointage. Aucun point, même pas une passe. Ils ont à peine touché à la rondelle de leurs bâtons.
Dans une série au cours de laquelle le gardien Antti Niemi et plusieurs joueurs de soutien ont permis aux Hawks de se forger une avance de 2-0 face aux Flyers de Philadelphie, Kane et Toews n'ont pas encore joué un rôle important afin d'aider l'équipe à remporter un premier championnat depuis 1961.
"Ce n'est pas toujours au gros trio de produire à l'attaque, a souligné l'entraîneur Joel Quenneville, mardi. On fonctionne par comité, comme équipe, l'attaque peut provenir de plusieurs sources. La défense peut même y mettre son grain de sel."
Vrai, mais de miser sur une meilleure production du duo dans l'amphithéâtre hostile de Philadelphie pourrait s'avérer utile afin de restreindre la pression sur les joueurs qui ne sont pas censés contribuer offensivement.
Mais gagner est tout ce qui compte pour Kane et Toews. Même si ça implique qu'ils n'amassent pas un seul point, en autant qu'ils soulèvent la coupe.
Le duo qui peut exploser à tout moment était introuvable, mardi, ayant pris congé des médias.
Kane n'a pas fait mouche dans six matchs d'affilée. Toews n'a pas marqué en quatre rencontres.
Malgré cela, les Hawks ont gagné leurs sept derniers matchs et 10 de leurs 11 derniers.
"Ils font tellement plus pour nous que remplir le filet, a mentionné l'attaquant Patrick Sharp. Nous ne sommes aucunement préoccupés. Nous le répétons depuis le début des séries: on se fout de qui marque els buts en autant que nous gagnons. Nous avons quatre trios qui peuvent apporter leur touche à l'attaque, et c'est la raison pour laquelle nous sommes rendus ici."
Toews a souligné après la victoire de 2-1 des siens, lundi, que la profondeur avait amené les Blackhawks loin en séries.
"La pression ne repose pas que sur nous, ce qui est positif", a-t-il observé.
Kane a dit qu'il veut accomplir quelque chose d'exceptionnel en finale de la Coupe Stanley, mais il ne se laisse pas affecter par son manque de production.
"Je le serais (affecté) si nous n'étions pas en avant 2-0 dans la série", a-t-il avoué.
Les Blackhawks ne sont pas intimidés d'aller jouer dans l'enfer orange du Wachovia Center. Ils sont à l'aise à l'étranger, comme le montre leur fiche de 7-1 ce printemps.
Mais les Flyers affichent le même rendement à la maison au cours de la même période.
"Nous avons fait du bon travail afin de stopper leur meilleur trio, mais nous devons maîtriser les autres trios", a noté le défenseur Chris Pronger, lundi soir.
Les Flyers ont une énorme côte à remonter. Seulement deux équipes en 33 occasions ont perdu en finale après avoir gagné les deux premiers matchs. Et seulement quatre équipes ont surmonté un retard de 0-2 en finale.
"Nous nous sommes placés dans une situation exigeant que nous jouions à partir de maintenant avec un très fort sentiment d'urgence", a résumé Daniel Brière.