Après Simon Gagné, Anze Kopitar des Kings de Los Angeles est lui aussi dans une terrible léthargie

On dirait que plusieurs joueurs connaissent plus que jamais de longues léthargies cette saison et c’est le cas de l’attaquant Anze Kopitar, des Kings de Los Angeles.



Un peu à l’image de son coéquipier Simon Gagné, qui a égalé lundi soir, la pire léthargie de sa carrière (14 matchs sans aucun but), Kopitar pourrait aussi égaler sa marque personnelle à ce chapitre, lui qui n’a pas marqué lors de ses 12 derniers matchs, affichant un dossier de 0–6-6 avec un différentiel de moins neuf, depuis qu’il a réussi son dernier but (en avantage numérique), dans un gain de 3 à 2, face aux Blues de Saint-Louis, le 22 novembre dernier.

Soulignons que Kopitar, qui totalise 148 buts en carrière, pourrait égaler la plus longue léthargie de sa carrière, ayant été tenu en échec durant 13 matchs de suite (0–7-7), du 11 novembre au 7 décembre 2009.

Est-ce Kopitar va enfin secouer sa guigne et trouver le fond du filet ou s’il va imiter Simon Gagné, en ce jeudi, face aux faibles Ducks d’Anaheim, lors du premier match du nouvel entraîneuf-chef Darryl Sutter, à la barre de l’équipe ?

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Avec cinq défaites de suite, est-ce le début d’une longue descente pour le Wild du Minnesota ?



Après avoir été l’une des belles surprises de la LNH lors des neuf premières semaines du calendrier régulier, assistons-nous à un retour à la normale pour le Wild du Minnesota ?

En effet, la formation dirigée par Mike Yeo, qui présentait en date du 12 décembre, le meilleur rendement de la LNH, 20–7-3 (43 points) lors de ses 30 premiers matchs, n’a pu faire mieux qu’un dossier de 0–3-2 lors de ses cinq dernières parties, son dernier gain remontant au 10 décembre, 4 à 1, face aux Coyotes de Phoenix.

La défense qui avait été la force de l’équipe, a été un peu moins hermétique, concédant 14 buts lors de la récente léthargie de cinq matchs (moyenne de 2,80 par match, comparativement à une moyenne de 2,14 auparavant), mais la faible attaque n’a pas produit les résultats souhaités, ne marquant que six buts (moyenne de 1,20, contre 2,63 lors des 30 premiers matchs), durant cette séquence difficile.

Le jeu de puissance, qui n’a obtenu que 11 avantages numériques lors des cinq derniers matchs, n’a marqué qu’un but lors de la série de cinq défaites, lui qui est 0 en 7 lors des quatre dernières parties.

Le Wild, qui termine un voyage de trois matchs en quatre jours, affronte les Oilers d’Edmonton, une équipe contre laquelle il présente une superbe fiche de 9–1-0 lors de ses 10 dernières rencontres.

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