Une première en 14 ans pour les Devils
Hockey lundi, 11 avr. 2011. 17:59 jeudi, 12 déc. 2024. 12:33
NEWARK, N.J. - Les joueurs des Devils du New Jersey sont venus vider leurs casiers dans la pénombre du Prudential Center, lundi matin, une première pour l'équipe au terme d'une saison régulière depuis 1996.
Les Devils ont raté les séries éliminatoires pour la dernière fois en 1996, une année seulement après leur première conquête de la Coupe Stanley. Depuis ce temps, il y avait eu du hockey de printemps à tous les ans au New Jersey. Ce ne sera pas le cas cette année.
Les Devils ont mis fin à leur saison en défaisant les Bruins de Boston 3-2 à domicile, dimanche.
« Les trois dernières fois que notre saison a pris fin par une victoire, nous avons soulevé la Coupe Stanley à bout de bras », a noté le vétéran gardien Martin Brodeur.
Depuis leur dernière absence aux séries, les Devils ont pris part à trois finales de la Coupe Stanley, et ils en ont remporté deux. Brodeur a fait partie des trois éditions de l'équipe, comme l'attaquant Patrik Elias.
« Toute bonne chose a une fin, a dit Elias. Vous voulez jouer à ce stade de l'année. C'est décevant. Vous ressentez un sentiment de vide. »
Les Devils ont failli réaliser l'impensable, après avoir connu une première moitié de saison misérable (10-29-2), sous la férule de l'entraîneur recrue John MacLean. L'organisation a congédié MacLean afin de ramener Jacques Lemaire derrière le banc.
Lemaire, qui a gagné la première Coupe Stanley à la barre des Devils en 1995, vient d'annoncer sa deuxième retraite en autant d'années.
Le changement d'entraîneur a ravivé la flamme des Devils, qui ont par la suite connu une irrésistible séquence de 23-3-2 au cours des 28 matchs suivants.
L'équipe n'a toutefois pu faire mieux qu'un rendement de 5-7-1 dans ses 13 dernières rencontres.
« C'était rendu dur psychologiquement, a souligné Brodeur. Nous n'avions plus la même énergie.
« Nous avons tout donné dans les deux dernières semaines, même si nous savions que nos chances étaient minces, voire nulles.
Les Devils estiment qu'ils peuvent envisager l'avenir avec optimisme à la suite des bonnes performances de jeunes éléments, comme les Jacob Josefson, Mattias Tedenby et Nick Palmieri.
« Ce que nous avons accompli en deuxième moitié de saison est très satisfaisant pour les partisans et pour nous les joueurs », a mentionné Brodeur, qui a encore une année à écouler à son contrat.
« Il y a plusieurs aspects positifs sur lesquels nous pouvons bâtir. Je suis moi-même emballé. Si vous m'aviez posé la même question en décembre, je ne vous aurais possiblement pas dit la même chose. »
Les Devils ont raté les séries éliminatoires pour la dernière fois en 1996, une année seulement après leur première conquête de la Coupe Stanley. Depuis ce temps, il y avait eu du hockey de printemps à tous les ans au New Jersey. Ce ne sera pas le cas cette année.
Les Devils ont mis fin à leur saison en défaisant les Bruins de Boston 3-2 à domicile, dimanche.
« Les trois dernières fois que notre saison a pris fin par une victoire, nous avons soulevé la Coupe Stanley à bout de bras », a noté le vétéran gardien Martin Brodeur.
Depuis leur dernière absence aux séries, les Devils ont pris part à trois finales de la Coupe Stanley, et ils en ont remporté deux. Brodeur a fait partie des trois éditions de l'équipe, comme l'attaquant Patrik Elias.
« Toute bonne chose a une fin, a dit Elias. Vous voulez jouer à ce stade de l'année. C'est décevant. Vous ressentez un sentiment de vide. »
Les Devils ont failli réaliser l'impensable, après avoir connu une première moitié de saison misérable (10-29-2), sous la férule de l'entraîneur recrue John MacLean. L'organisation a congédié MacLean afin de ramener Jacques Lemaire derrière le banc.
Lemaire, qui a gagné la première Coupe Stanley à la barre des Devils en 1995, vient d'annoncer sa deuxième retraite en autant d'années.
Le changement d'entraîneur a ravivé la flamme des Devils, qui ont par la suite connu une irrésistible séquence de 23-3-2 au cours des 28 matchs suivants.
L'équipe n'a toutefois pu faire mieux qu'un rendement de 5-7-1 dans ses 13 dernières rencontres.
« C'était rendu dur psychologiquement, a souligné Brodeur. Nous n'avions plus la même énergie.
« Nous avons tout donné dans les deux dernières semaines, même si nous savions que nos chances étaient minces, voire nulles.
Les Devils estiment qu'ils peuvent envisager l'avenir avec optimisme à la suite des bonnes performances de jeunes éléments, comme les Jacob Josefson, Mattias Tedenby et Nick Palmieri.
« Ce que nous avons accompli en deuxième moitié de saison est très satisfaisant pour les partisans et pour nous les joueurs », a mentionné Brodeur, qui a encore une année à écouler à son contrat.
« Il y a plusieurs aspects positifs sur lesquels nous pouvons bâtir. Je suis moi-même emballé. Si vous m'aviez posé la même question en décembre, je ne vous aurais possiblement pas dit la même chose. »