Les Predators n’ont pas marqué en avantage numérique à domicile



Dans les présentes séries éliminatoires, les Predators de Nashville semblent impuissants lorsqu’ils se retrouvent en avantage numérique devant leurs partisans.

En effet, la formation dirigée par Barry Trotz présente un rendement de 0 en 20 supériorités numériques lors de ses quatre matchs disputés au Bridgestone Arena, comparativement à un excellent dossier de cinq buts en 14 avantages (35,71%), lors de ses quatre rencontres à l’étranger.

Les Predators, qui ont eu un rendement de 0 en 15 face aux Red Wings de Detroit, lors du premier tour, ont été 0 en 5, lors du premier match de la présente série, mercredi soir.

En incluant la fin des séries de l’an dernier, les Predators ont une fiche d’ucun but lors de leurs 27 derniers avantages numériques à domicile, eux dont le dernier but dans ces circonstances remonte au 5 mai 2011, (Joel Ward, à 19 :18 de la première période), dans un revers de 4 à 2, face aux Canucks de Vancouver.

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Les Coyotes de Phoenix n’ont pas concédé de buts en avantage numérique à l’étranger !



Si les Predators de Nashville n’ont pas marqué en avantage numérique à domicile, il faut souligner que les Coyotes de Phoenix ont été parfaits en infériorité numérique à l’extérieur depuis le début des présentes séries.

La formation de Dave Tippett a écoulé avec succès 13 désavantages numériques lors de ses quatre matchs disputés sur les patinoires adverses.

Les Coyotes, qui avaient été parfaits en huit infériorités numériques dans les trois matchs face aux Blackhawks de Chicago, au United Center, lors de la première série, ont écoulé avec succès cinq infériorités, lors du revers de 2 à 0, mercredi soir.

Laquelle des deux équipes verra sa série prendre fin lors du présent duel ?

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Comme l’an dernier, plus de buts marqués lors de la troisième période dans les présentes séries

Un peu à l’image de l’an dernier, plus les matchs progressent plus il se marque de buts dans les séries éliminatoires.

Dans les 60 premiers matchs, il y a eu un total de 307 buts marqués, une moyenne de 5,12 par match, et comme la saison dernière, la troisième période est celle où il y a eu le plus de filets, 100, une moyenne de 1,67 comparativement à 89 lors du premier vingt (moyenne de 1,48), 98 lors de la période médiane (moyenne de 1,63) et 20 lors de la prolongation (moyenne de 0,33).

Le nombre élevé de buts en troisième période, où les équipes protègent habituellement les avances, peut en partie s’expliquer par le fait que dans 19 des 60 matchs (31,67%), ce troisième vingt débutait avec une égalité, alors que dans les 40 autres rencontres (68,33%), les équipes détenaient une avance après la période médiane.

L’an dernier, ce fut semblable, car il y avait eu 499 buts lors des 89 matchs, une moyenne de 5,61 par rencontre (de loin supérieure à celle de 5,12 des actuelles séries), 148 buts en première période (moyenne de 1,66), 158 filets en deuxième période (1,78), 171 buts au troisième vingt (1,92) et 22 buts en prolongation (0,25).

Soulignons qu’après deux périodes, les équipes détenaient une avance dans 62 des 89 rencontres (69,66%) et étaient à égalité lors des 27 autres matchs (30,34%).

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