BARCELONE - Alors que toutes les écuries de F1 sont actuellement au travail à Barcelone afin de préparer la prochaine saison, un sujet était sur toutes les lèvres.

Son arrivée était appréhendée, mais pour 2018 il est enfin implanté : le halo de sécurité, qui surplombe la tête des pilotes.

Alors, à quel point le halo est-il encombrant?

« Pour moi, ça ne change pas grand-chose. Avec le temps, ça va devenir une habitude. On a un peu oublié les sensations d'avant, mais pour moi ça va », relativise le pilote québécois de l’écurie Williams, Lance Stroll.

À l'instar des autres pilotes, Stroll testait sa nouvelle monture pour la première fois lundi. Lors de la session matinale, il a effectué 46 tours, soit un peu moins que les pilotes Red Bull, Mercedes et Ferrari, à il concédait 2 secondes de retard.

« C'est encore un peu tôt pour dire si la voiture est bonne ou moins bonne, note Strollé On a eu une bonne matinée et maintenant, il faut faire plus de tours. »

À l'aube de sa deuxième saison en F1, Stroll n'a pas passé autant de temps que l'an dernier sur les circuits pour des essais privés. Il s’est ennuyé de la F1.

« Ouais, ça a fait du bien de retourner dans la voiture.  Durant l'hiver, l'attente est longue avant de recommencer et de revenir sur la piste. Ça fait du bien. »

Stroll reviendra en piste mercredi seulement puisqu'il partage son volant avec deux nouveaux venus chez Williams, son nouveau coéquipier Sergey Sitotkin, de même que le nouveau pilote d’essai, le vétéran Robert Kubica.