Tomas Plekanec a souligné sa 1000e partie en carrière dans la LNH de belle façon.

 

Devant sa mère venue de sa Tchéquie natale, devant ses enfants qui sont nés et qui grandissent toujours à Montréal, devant sa compagne, devant des milliers de partisans qui lui ont démontré un brin d’affection et deux brins de reconnaissance pour tout ce qu’il a offert au Canadien au fil des ans, Plekanec a eu droit à une belle ovation lorsque Michel Lacroix a souligné sa 1000e rencontre. Il a aussi marqué un but, son premier cette saison, son 233e en carrière (608e point). Il a également reçu, en prime, le titre de première étoile qui lui a valu une autre ovation.

 

Grosse soirée!

 

Ce dont Tomas Plekanec était surtout fier, c’était d’avoir célébré tout ça dans le cadre d’une victoire.

 

Pour plusieurs joueurs, souligner l’importance de la victoire dans le cadre d’un match aussi spécial qu’un 1000e en carrière tient du cliché. Dans le cas de Plekanec, il n’en est rien. Tomas Plekanec est un gars d’équipe. Un vrai. Tout au long de sa carrière, il s’est toujours assuré de faire tout ce qu’il était en mesure de faire pour remplir les rôles que les entraîneurs lui assignaient. Il s’est toujours assuré de tout faire pour dépasser les objectifs qu’on fixait pour lui. Les objectifs qu’il se fixait lui-même et qui, à n’en pas douter, étaient toujours plus imposants que ceux qu’il recevait des autres.

 

Au centre du meilleur trio offensif qu’il ait piloté à Montréal alors qu’il était encadré d’Alex Kovalev et Andrei Kostitsyn, Plekanec s’assurait de remplir les missions défensives tout en alimentant ses compagnons de jeu. Des missions pas toujours évidentes considérant le peu d’aptitudes défensives de ses deux ailiers.

 

Au centre de trios plus timides offensivement, il travaillait sans relâche pour aider la cause de son club. Toujours à fond. Toujours le plus efficacement possible. Toujours le plus discrètement possible.

 

Pas surprenant alors que Plekanec ait été la personne la plus embarrassée dans tout le Centre Bell lors de l’annonce de ses 1000 matchs et de l’ovation qui a suivi cette annonce. Il a semblé un peu ému, mais je n’ai pas vu de trace de larme à ses yeux. S’il a esquissé un sourire, c’en fut un tout petit, un petit sourire traduisant son malaise face à l’attention qu’il recevait bien plus qu’au plaisir qu’il aurait facilement pu se permettre de savourer.

 

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