Carey Price laçait ses patins lorsqu’il a aperçu un petit bonhomme debout, trois pieds devant lui. Le gardien du Canadien ne le savait pas encore, mais le petit bonhomme qui lui tournait le dos était Jack Nicklaus.

Oui! Oui! Le Jack Nicklaus. Le seul, le vrai. Le « Golden Bear » qui revendique 119 victoires en carrière sur les circuits professionnels dont 18 titres majeurs – un record qui ne sera jamais égalé – et six au Tournoi des Maîtres.

« Je suis rarement déstabilisé lorsque je rencontre des personnalités. Mais quand j’ai réalisé que Jack Nicklaus était devant moi dans le vestiaire, disons que ça m’a jeté par terre », a reconnu Carey Price après la victoire de 3-2 arrachée par le gardien du Tricolore aux dépens des Bruins de Boston.

Avec Byron sur le flanc gauche, le premier trio a donné le ton offensivement face aux Bruins. Il a été bien secondé par le trio de Torrey Mitchell. Eh oui! Encore le quatrième trio.

Entre les premier et quatrième trios et l’attaque massive qui a donné un autre but – Weber est rendu à quatre buts en attaque massive sur les cinq qu’il revendique – il n’y a pas eu grand-chose des trios de David Desharnais et de Tomas Plekanec.

J’en ai parlé avec le capitaine après la rencontre. Je vous partage ses commentaires en cours de journée mercredi. Car pour le moment, je file assister à ce qu’il reste de la soirée électorale américaine. Je crains fort que les nouvelles soient bien plus mauvaises pour mes amis des USA que le fait que le Canadien accorde trop de tirs et de bonnes occasions de marquer à ses adversaires.

On reconnecte plus tard…