Chaque mardi, le RDS.ca vous offre Le Carnet LHJMQ, un assemblage des faits marquants du week-end précédent dans le circuit Courteau.

Un avertissement pour les Remparts

 

Identifiés comme l’une des puissances de la LHJMQ en début de saison, les Remparts de Québec ont heurté leur premier dos d’âne au cours des dernières semaines. Après avoir décroché huit victoires en ligne, la troupe de Patrick Roy a démontré une certaine vulnérabilité lors d’une séquence de quatre défaites consécutives. Celle-ci a pris fin dimanche avec un gain de 6-2 contre les Saguenéens à Chicoutimi.

 

Beaucoup de bien a été dit sur l’attaque des Remparts, qui compte sur trois joueurs repêchés dans la LNH et un possible choix de première ronde. Dans nos pages avant le début de saison, l’entraîneur-chef Patrick Roy s’était même réjoui de compter sur « deux troisièmes trios » pour illustrer la profondeur de son top-12. Mais durant un mois d’octobre presque parfait, c’est la défensive des Diables Rouges qui s’est avérée béton. Au cumul des huit victoires successives mentionnées plus haut, elle n’a accordé que 15 buts.

 

Cette armure a craqué récemment. Après un revers contre Shawinigan où ils auraient mérité un meilleur sort, les Remparts ont perdu 5-2 contre Sherbrooke, 5-4 contre Saint John et 6-1 contre Rimouski.

 

« Moi ce qui m’agaçait le plus, c’est le nombre de buts qu’on accordait, ne cache pas Louis Crevier, le doyen de la brigade. Contre Rimouski, on en a accordé six. C’est sûr qu’une fois qu’on accorde un but, va falloir mieux réagir à l’adversité. C’est justement une des choses dont on a parlé, notre réaction face à l’adversité. Mais en même temps, on n’a pas mal joué. »

 

Crevier apporte un bémol valable. Dans sa série d’insuccès, Québec n’a jamais accordé plus de 30 lancers dans un match. Les Sea Dogs ont marqué cinq fois sur seulement 22 tirs. L’Océanic a fait tout son dommage en cadrant seulement 28 rondelles sur le filet adverse.

 

Mais le collectif a aussi montré des signes d’égarement. Contre Sherbrooke, les Remparts ont laissé filer le match en accordant deux buts en 53 secondes en fin de deuxième période. Contre Saint John, ils ont été coulés par deux buts en 52 secondes. Contre Rimouski, ils ont perdu leur mince avance en 2:20 et ne l’ont jamais récupérée.

 

« On a regardé les buts qu’on accordait avant le match à Chicoutimi et c’était des buts qui étaient faciles à éliminer, relativise Crevier. D’un côté, c’est frustrant de voir ça, mais de l’autre, on sait que ça se corrige quand même assez facilement. Il y a des buts, c’était juste soulever le bâton du gars pis il n’y rien qui se passe. »

 

Il est aussi important de mettre ce passage à vide en perspective. D’abord, la première neige n’a toujours pas tombé sur la Vieille Capitale. La saison est jeune et il serait beaucoup trop tôt pour céder à la panique. Il faut aussi noter que trois des quatre défaites dont il est question ont été subies contre des formation qui occupent présentement le top-5 du classement général de la LHJMQ. L’autre est pressentie pour s’y retrouver à un moment ou un autre durant l’année. 

 

Et puis malgré ses petits problèmes, Québec affiche toujours la deuxième meilleure moyenne de buts alloués par match (2,53) du circuit Courteau.

 

« Ça ne peut pas toujours bien aller. Quand on a des petits down comme ça, c’est sûr que sur le moment, c’est quelque chose de plate, c’est difficile sur le moral. Mais une fois que c’est passé, il faut regarder ça du bon côté et essayer d’apprendre de nos erreurs », indique Crevier.

 

« C’est de valeur d’avoir perdu, mais d’un autre côté ça nous ouvre les yeux aussi sur ce qui peut nous manquer et ce qu’il faut corriger. C’est sûr qu’il faut se regarder dans le blanc des yeux et voir que des choses ne marchent pas. On va juste devenir meilleurs de jour en jour. Au bout de la ligne, c’est ce qu’on veut. » (NL)

 

 

Les deux mondes de Xavier Simoneau

 

Xavier Simoneau se plaît sur l’Île-du-Prince-Édouard. Il a eu le temps de tester la réputation des terrains de golf de la province avant la fin de la saison chaude et continue, près de trois mois après son arrivée, de s’acclimater à ce qu’il décrit comme le « mood des Maritimes ».

 

« J’avais souvent entendu dire qu’ici, c’était relax, qu’il n’y avait pas de stress. Je pense qu’il faut que tu vives ici pour le comprendre », raconte le jeune homme natif de l’Outaouais, que RDS a joint pendant son lundi de congé.

 

« Je l’ai compris tout de suite avec ma famille de pension et son entourage. On le voit aussi dans les rues. Tout le monde arrête tout le temps pour laisser passer les piétons. Le trafic aussi, il n’y a personne qui klaxonne... C’est un autre monde. »

 

Simoneau se plaît, donc, à Charlottetown, mais il avait aussi hâte de renouer avec son ancien univers. La première semaine de novembre était depuis longtemps surlignée sur son calendrier. « Je connaissais plus la date où j’allais jouer à Drummond que celle où j’allais jouer par chez moi à Gatineau », avoue-t-il en riant.

 

C’est avec beaucoup de fébrilité que l’ancien capitaine des Voltigeurs a remis les pieds dans la ville où il a passé quatre mémorables saisons. Rien pour calmer ses nerfs, l’organisation l’avait contacté pour lui annoncer qu’elle le recevrait en grand. Une cérémonie d’avant-match avec tapis rouge sur lequel l’attendaient les membres de sa famille – oui, il y a eu des larmes – a été organisée. Sur l’écran géant ont défilé des témoignages d’anciens coéquipiers et entraîneurs qui ont marqué son parcours.

 

« Je ne savais pas qui allait parler ni ce qu’ils allaient dire. Ça a fait chaud au cœur d’y revoir des coéquipiers qui ont une grande place dans mon cœur. Un gars comme Dominique Ducharme, aussi, probablement le meilleur entraîneur que j’ai eu dans ma vie. »

 

Simoneau admet que les papillons qui virevoltaient dans son estomac pendant qu’il laçait ses patins ne l’ont pas lâché de la soirée.

 

« Tout au long du match, j’appréciais le moment, j’appréciais chaque présence que je faisais sur la patinoire. Pendant le jeu, des fois, des petits souvenirs de Drummondville me revenaient en tête. Mais j’ai quand même réussi à jouer un bon match. Tout ce que je voulais, c’était profiter du moment. Je ne voulais pas non plus tomber dans le piège d’essayer d’en faire trop. Dans les circonstances, je crois que j’y suis arrivé. Ça a été un match mémorable. »

 

Le vétéran de 20 ans a fini la rencontre avec une mention d’aide dans une victoire de 4-1. Blanchi deux jours plus tard à Sherbrooke, il a terminé le voyage avec un match de trois points contre l’Armada. Simoneau a 23 points en 13 matchs depuis le début de la saison et ses Islanders occupent le premier rang d’une section des Maritimes fort relevée où le mood est tout sauf relax.

 

« Plus de la moitié de mes matchs sont assurés d’être contre des formations de qualité qui vont vouloir aussi aller pour la Coupe. Inévitablement, ça va m’aider sur le plan personnel aussi », prévoit l’espoir du Canadien. (NL)

 

 

« Les deux plus belles semaines de ma vie »

 

Avant le début de la saison, Daniel Lacroix a servi une mise en garde à sa recrue Étienne Morin. Le genre d’avertissement que formulerait n’importe quel entraîneur-chef de la LHJMQ à un défenseur qui s’apprête à faire ses débuts dans le circuit à 16 ans.

 

« Il y a des games où tu ne seras pas dans l’alignement, seras-tu capable de gérer ça? », s’est souvenu d’avoir dit l’entraîneur-chef des Wildcats de Moncton, lundi, lorsque joint après l’entraînement des siens.

 

Il n’a pas encore obtenu réponse à sa question. Morin a joué chacun des 14 matchs des Wildcats depuis le début de la campagne.

 

« En ce moment, il ne me donne pas de raisons de le sortir. »

 

Tout premier choix de la deuxième ronde du dernier repêchage de la LHJMQ, 21e au total, l’arrière de 5 pi 11 po et 179 livres est le meilleur pointeur de son équipe chez les défenseurs avec une récolte de 3 buts et 8 points. À la grandeur du circuit, chez les arrières recrues, il n’est devancé que par David Spacek (4 buts, 14 points) du Phoenix de Sherbrooke et Niks Fenenko (1 but, 9 points) du Drakkar de Baie-Comeau, respectivement âgé de 18 et 17 ans. 

 

Employé majoritairement sur le top-4 défensif des Wildcats depuis le début de la campagne, Morin affiche un différentiel de plus-1 et joue en moyenne de 18 à 20 minutes par rencontre.

 

« Pour un jeune défenseur de 16 ans, c’est beaucoup ça. Et on ne lui donne pas parce qu’on est mal pris. On lui donne parce qu’il les mérite », a assuré Lacroix.

 

« Je vais être très sincère, non je ne m’attendais vraiment pas à jouer autant, a admis Morin. Quand je suis arrivé, mon but c’était juste d’être dans l’équipe et au final, j’ai vu que j’étais capable de compétitionner (sic) avec les autres joueurs. Ça va au-delà de mes attentes et ça va extrêmement bien. »

 

Si Lacroix n’hésite déjà pas à faire confiance à son jeune espoir, l’employant notamment sur la deuxième vague de son jeu de puissance, c’est en grande partie dû au calme que ce dernier affiche en possession de la rondelle.

 

« Il est arrivé ici avec une belle confiance en ses moyens, et elle est difficilement ébranlable. Il fait des erreurs, comme tous les jeunes joueurs en font, mais il y a une belle résilience dans son approche. [...] Dès les premières semaines suivant son arrivée, on voyait son calme avec la rondelle. Des fois, il en a eu trop, mais il s’est adapté très, très vite. »

 

« Sans la rondelle, il est dur sur le puck, a poursuivi Lacroix. Au début de l’année, son hockey n’était pas encore assez sharp pour tuer assez de jeu. Mais il suffit de travailler un peu avec lui pour qu’il apporte tout de suite les ajustements. [...] Ce n’est pas le gars le plus physique, mais il s’implique néanmoins en se servant de son poids. Je trouve qu’il a un hockey très pesant et très dur dans ses batailles, il sort souvent avec la rondelle. »

 

Une ardeur au travail qui a mené à ses deux premiers buts en carrière le 29 octobre face aux Eagles du Cap-Breton. Dans les 4 matchs qui ont suivi, il a ajouté 1 but et 2 passes à sa fiche, captant au passage l’attention d’Hockey Canada, qui l’a invité la semaine dernière au Défi de la capitale, un tournoi à quatre formations réunissant trois équipes masculines de moins de 17 ans et l’équipe nationale féminine du Canada à la fin du mois à Ottawa.

 

« Les deux dernières semaines, ce n’est que des émotions pour moi. Ce sont les deux plus belles semaines de ma vie qui viennent de se passer. » (MF)

 

 

Le mirage de l’Armada

 

De retour dans son bureau du Centre d’excellence Sports Rousseau, après la défaite des siens contre les Islanders de Charlottetown samedi, Bruce Richardson a ouvert son ordinateur et sorti sa calculatrice.

 

Pas qu’il remettait en question les conclusions mathématiques du descripteur des matchs de l’Armada, Cédrik Blondin, publiées sur son fil Twitter dans les minutes suivant le revers, mais l’entraîneur-chef de Blainville-Boisbriand éprouvait le désir d’approfondir la réflexion, d’y extirper une dose supplémentaire de réconfort.

Ses calculs lui ont d’abord permis de confirmer le décompte de Blondin : à lui seul, le défenseur des Islanders Noah Laaouan avait plus de matchs d’expérience dans le circuit Courteau (249) que les six membres de sa brigade défensive (231), privée ce jour-là de deux vétérans de 20 ans suspendus, Simon Lavigne et Alexandre Joncas. En additionnant ensuite le bagage d’expérience de tous les arrières de Charlottetown en uniforme, Richardson a réalisé que sa jeune défense accusait un déficit de près de 500 rencontres (497).

 

Perdre 4-3, dans les circonstances, c’était loin de la catastrophe anticipée.

 

« C’est sûr que quand tu joues contre Charlottetown, qui a cinq joueurs repêchés dans la LNH, avec l’expérience et la maturité qu’ils ont, tu espères que la chaîne ne débarquera pas, surtout à la  maison », se consolait Richardson, lundi.

 

« J’ai trouvé que les gars ont bien fait ça, ils ont même été vraiment bons. On était à 23 secondes d’aller en prolongation, à trois minutes de gagner cette game-là. On a fait de petites erreurs et un manque de maturité en défense nous a coûté la game. »

 

La veille, à Drummondville, l’Armada a alloué 6 buts aux Voltigeurs avant d’être sauvée par Miguël Tourigny, qui est devenu le meilleur buteur (44) dans l’histoire de la franchise pour un défenseur en complétant son tour du chapeau en prolongation. C’était alors la 5e fois en 8 matchs que la flotte de la Rive-Nord concédait au moins 6 buts après avoir pris la LHJMQ de surprise avec 6 victoires consécutives pour amorcer la campagne.

 

« Les 6 games qu’on a gagnées en début d’année ont fait en sorte qu’on pensait que les choses allaient bien, mais à moment donné, quand tu as un slump, tu vois les bobos ressortir », a concédé Richardson, dont la troupe a encaissé 63 buts jusqu’à maintenant cette saison, le 17e rendement de la LHJMQ derrière les 65 des Eagles du Cap-Breton.

 

« T’sais, les gars veulent tellement travailler fort et être fidèles à notre identité ; l’éthique de travail, que des fois c’est trop. Il faut que tu sois capable d’avoir un bon bâton, de contenir [l’adversaire] et de ne pas être trop agressif. [...] Si tu y vas en ligne drette contre de bons joueurs, c’est là qu’ils vont te battre et te faire mal. »

 

C’est sur ce point que Richardson affirme insister avant ces jours-ci auprès de ses joueurs, qui forment cette année le deuxième groupe le plus jeune de la ligue (17,72 ans). Une donnée momentanément perdue de vue par l’entraîneur-chef, a-t-il confessé.

 

« En début d’année on se disait "processus, processus, processus", qu’on allait perdre des games, mais qu’on voulait jouer de la bonne manière, que ç’allait être bénéfique pour l’équipe à long terme. Mais quand tu te mets à gagner, des fois tu l’oublies ça, parce qu’on est dans une business de performance et de résultats. On pense tout le temps que le résultat est le succès d’une équipe. Eh bien pas tout le temps... Il y a des fois où il faut faire deux pas en arrière pour en faire un vers l’avant. » (MF)

 

 

Aux quatre coins de la « Q »

 

- Après avoir entendu l’alarme sonnée par l’entraîneur-chef Mario Durocher la semaine dans cette tribune, le Titan d’Acadie-Bathurst a freiné à 7 sa série de revers en s’imposant 3-2 samedi contre les Mooseheads de Halifax. Dans la victoire, l’espoir du Canadien Riley Kidney a récolté 2 buts et 1 passe... Parlant du Titan, l’attaquant de 20 ans Bennett MacArthur, qui manque cruellement à l’équipe, a effectué un retour à l’entraînement jeudi dernier. En son absence, le club n’a remporté que 2 de ses 10 derniers matchs.

 

- Le choix de premier tour des Golden Knights de Vegas en 2021, l’attaquant Zach Dean, sera de retour chez les Olympiques de Gatineau la semaine prochaine après avoir soigné une blessure au haut du corps.

 

- Après Mavrik Bourque, ce fut au tour de l’attaquant Xavier Bourgault de manquer à l’appel chez les Cataractes samedi face aux Eagles. Blessé sous un œil par la lame d’un bâton, le meilleur pointeur du circuit devrait toutefois jouer le prochain match de l’équipe vendredi à Saint John.

 

- Les Sea Dogs de Saint John reprennent du poil de la bête. Après un faux départ marqué par 4 défaites à ses 5 premières rencontres, l’équipe hôte de la Coupe Memorial a signé 6 victoires dans ses 10 derniers matchs, s’imposant notamment aux dépens des puissants Cataractes de Shawinigan et Remparts de Québec avant de boucler son voyage de trois matchs dans la Belle Province avec un revers aux mains des Voltigeurs de Drummondville, samedi.

 

- Le Phoenix Sherbrooke, prétendant surprise? La troupe de Stéphane Julien a battu trois équipes du top-5 du classement général à ses trois derniers matchs, s’approchant à deux points seulement des Cataractes de Shawinigan et du premier rang avec deux matchs en main.

 

- L’attaquant de 20 ans Pierrick Dubé, dont les droits appartiennent au Drakkar de Baie-Comeau, mais qui a préféré ne pas se rapporter sur la Côte-Nord cette saison, a signé une entente avec les Lions de Trois-Rivières dans la ECHL mercredi dernier.

 

- L’attaquant des Tigres de Victoriaville Nicolas Daigle, qui est accusé d’agression sexuelle sur une mineure, n’ira pas jouer en Ukraine, contrairement à ce qu’a affirmé la semaine dernière le HC Rulav Oddr, un club évoluant dans l’Ukraine Hockey League (UHL). Tel que rapporté par le Journal de Québec, la LHJMQ n’autorisera pas la libération d’un joueur sous le coup d’une suspension.

 

- Le défenseur des Remparts de Québec Louis Crevier a signé un premier contrat professionnel avec les Blackhawks de Chicago mardi dernier.

 

- Le directeur général des Saguenéens Yanick Jean a obtenu du renfort devant le filet mercredi en faisant l’acquisition du gardien Kevyn Brassard du Titan en retour d’un choix de 11e ronde en 2023. Sans victoire depuis le 21 octobre, le portier Sergei Litvinov en arrache et Jean n’a d’ailleurs pas caché son insatisfaction au journal Le Quotidien samedi, après le revers de 6-2 contre les Remparts.

 

 

Dans vos oreilles

Dans le plus récent épisode de Sur la glace, le collègue Stéphane Leroux s’est entretenu avec le défenseur de 20 ans Sean Larochelle, qui est passé cet été d’une équipe championne, les Tigres, à un club en reconstruction, les Eagles. Bonne écoute!

 

Les citations de la semaine

 

« Au moins on va pouvoir arrêter de dire qu’on n’est pas capable de marquer... »

 

- Louis Robitaille, l’entraîneur-chef des Olympiques de Gatineau au journal Le Droit après la victoire de 7-6 des siens contre le Drakkar, samedi.

 

« Bon, il a l’air d’un boxeur qui vient de livrer 10 rounds, mais tout indique qu’avec un peu de repos, tout sera correct. »

 

- Daniel Renaud, l’entraîneur-chef des Cataractes de Shawinigan au journal Le Nouvelliste, au sujet de Xavier Bourgault, blessé sous un œil vendredi face aux Sea Dogs.

 

« En première période, les Remparts étaient partout et j’étais sur le point d’appeler [le directeur général du Tournoi international de hockey pee-wee de Québec] Patrick Dom pour demander une dérogation pour le mois de février »

 

- Serge Beausoleil, l’entraîneur-chef de l’Océanic de Rimouski au Journal de Québec, commentant la domination des Remparts en première période vendredi.

 

 

Le jeu de la semaine