Pour certains, New York est une ville étourdissante et suffocante, un amas de béton enseveli sous une marée humaine où seuls les plus forts survivent.

Preuve que tout est relatif, d’autres perçoivent plutôt la métropole des États-Unis comme un oasis de tranquillité. Ou presque.

C’est le cas d’Alain Vigneault. Après avoir pratiqué son métier sous la pression des marchés canadiens pendant onze années, l’entraîneur des Rangers atteste que les conditions qu’il a retrouvées dans la Grosse Pomme sont avantageusement comparables à ce qu’il a vécu plus tôt dans sa carrière à Montréal et Vancouver.