Demetrius Hopkins impressionne son oncle
Boxe vendredi, 1 avr. 2005. 07:43 dimanche, 15 déc. 2024. 10:37
Demetrius Hopkins est fier de son nom de famille, qu'il porte comme un badge d'honneur.
Hopkins, 24 ans, est un des bons espoirs dans l'excellente catégorie des super-légers en plus d'être le neveu de Bernard Hopkins, le champion unifié des poids moyens et le meilleur boxeur livre pour livre de la planète.
"Il y a beaucoup de pression, mais le nom de famille est une bonne chose à avoir. Mais je dois grandir dans mes propres souliers et bâtir mon propre chemin, a mentionné Demetrius Hopkins. "Il a bâti son chemin et a fait sa marque. Maintenant je dois faire la mienne."
Hopkins (17-0-1, 6 KOs) continuera son chemin alors qu'il fera les frais de la finale de Friday Night Fights sur ESPN2 contre Norberto Bravo (20-8-2, 12 KOs) au Desert Diamond Casino de Tucson en Arizona.
En combat principal ou pas, avec ce nom de famille Demetrius est le centre d'attraction à chaque fois qu'il monte sur le ring. Il réalise que tous les adversaires qu'il va affronter vont être motivés à en faire un peu plus, sachant que la notoriété viendra avec une victoire.
Bernard Hopkins, qui a agi comme un père pour le fils de sa soeur Bernadette, a tenté d'expliquer cela à Demetrius.
"Je lui ai dis 'Ton nom de famille est Hopkins donc je ne mettrai pas de pression sur toi, mais c'est Hopkins. Ils s'attendent à beaucoup de toi. Est-ce que tu seras comme ton oncle? Non. Mais tu vas dans le ring et sois le gladiateur que ton nom représente. Tu dois y aller et être plus qu'ordinaire parce que ta situation n'est pas ordinaire'", a mentionné Bernard Hopkins, qui sera aux abords du ring à Tucson.
"Il doit comprendre que Bernard Hopkins a laissé une route où les attentes pour lui sont très élevées. Il comprend."
En effet, Demetrius Hopkins, de Philadelphie, comprend.
"Je prends chaque combat comme si je me battais pour un titre mondial, a-t-il affirmé. Je ne prends personne à la légère. Je sais qu'ils n'attendent qu'un relâchement pour me vaincre."
Bernard Hopkins a donné à Demetrius sa première paiure de gants à l'âge de huit ans et a une une grande influence dans sa carrière et sa vie.
"Je veux que mon neveu soit éventuellement à la place que j'occupe présentement", a mentionné Bernard Hopkins.
Demetrius, qui a fréquenté l'Université Temple pendant deux ans et qui prévoit terminer son cours éventuellement, a été contre les conseils de son oncle et a signé avec le promoteur Dino Duva lorsqu'il est passé chez les professionnels en 2000. Bernard, dont les batailles avec plusieurs promoteurs sont légendaires, était d'avis qu'il serait préférable pour Demetrius de demeurer un agent libre. Demetrius a depuis quitté Duva en bons termes et a signé avec Golden Boy Promotions, la compagnie détenue par Oscar De La Hoya. Bernard Hopkins est récemment devenu un partenaire de la compagnie.
"J'ai toujours été un modèle pour Demetrius, à présent je suis aussi un promoteur, a indiqué Hopkins. Il a pris la décision de ne pas écouter son oncle et d'y aller avec les Duva alors que je lui disais d'être patient et de ne pas s'en faire avec les bonis à la signature. Nous avons eu un désaccord sur ce point et il a éventuellement vu que j'avais raison. Je ne cherche pas à blâmer qui que ce soit. Dino Duva a fait quelque chose de bien parce qu'il a une fiche de 17-0-1. Mais éventuellement, Demetrius va retourner à la maison. Je vais toujours le supporter."
Hopkins apporte aussi son support dans le gymnase. Son entraîneur de longue date, Bouie Fisher, a pris Demetrius sous son aile et il sera dans son coin pour son combat contre Bravo. Bernard fait aussi du sparring avec Demetrius, malgré son avantage de 20 livres.
Demetrius a aidé son oncle à se préparer pour ses trois derniers combats et Bernard l'a aide à se préparer pour ses deux derniers.
"C'est un gros gars, alors c'est difficile d'être sur le même ring que lui, a mentionné Demetrius en parlant des séances de sparring avec son oncle. Je ne peux pas le déplacer. Je peux faire beaucoup de choses avec lui, mais je dois travailler sur certains aspects. Il ne me ménage pas. Il m'atteint avec de bons coups lorsque je fais des erreurs."
"Il n'est pas un cogneur dévastateur, loin de là, mais il est un boxeur très précis, a affirmé Bernard Hopkins. Il est constant au fil de ses combats, c'est son chemin. Lorsque ça ne fonctionne pas sur son chemin, il doit travailler. Il apprend qu'on ne doit pas abandonner l'idée du KO ou du KO technique juste parce que le gars en face de nous ne coopère pas. On doit demeurer patient, peu importe combien de temps le combat durera."
Bernard voit son neveu s'améliorer et gagner en maturité, et il croit qu'il pourra éventuellement devenir un champion.
"S'il travaille très dur, oui il peut devenir un champion, a mentionné Hopkins. Au début de l'année prochaine, soit dans environ un an, je crois qu'il pourrait être prêt à affronter un gars comme [Miguel] Cotto. Je crois qu'à ce moment, Demetrius sera prêt pour n'importe quel champion. C'est ce que je ressens dans mon coeur."
Hopkins, 24 ans, est un des bons espoirs dans l'excellente catégorie des super-légers en plus d'être le neveu de Bernard Hopkins, le champion unifié des poids moyens et le meilleur boxeur livre pour livre de la planète.
"Il y a beaucoup de pression, mais le nom de famille est une bonne chose à avoir. Mais je dois grandir dans mes propres souliers et bâtir mon propre chemin, a mentionné Demetrius Hopkins. "Il a bâti son chemin et a fait sa marque. Maintenant je dois faire la mienne."
Hopkins (17-0-1, 6 KOs) continuera son chemin alors qu'il fera les frais de la finale de Friday Night Fights sur ESPN2 contre Norberto Bravo (20-8-2, 12 KOs) au Desert Diamond Casino de Tucson en Arizona.
En combat principal ou pas, avec ce nom de famille Demetrius est le centre d'attraction à chaque fois qu'il monte sur le ring. Il réalise que tous les adversaires qu'il va affronter vont être motivés à en faire un peu plus, sachant que la notoriété viendra avec une victoire.
Bernard Hopkins, qui a agi comme un père pour le fils de sa soeur Bernadette, a tenté d'expliquer cela à Demetrius.
"Je lui ai dis 'Ton nom de famille est Hopkins donc je ne mettrai pas de pression sur toi, mais c'est Hopkins. Ils s'attendent à beaucoup de toi. Est-ce que tu seras comme ton oncle? Non. Mais tu vas dans le ring et sois le gladiateur que ton nom représente. Tu dois y aller et être plus qu'ordinaire parce que ta situation n'est pas ordinaire'", a mentionné Bernard Hopkins, qui sera aux abords du ring à Tucson.
"Il doit comprendre que Bernard Hopkins a laissé une route où les attentes pour lui sont très élevées. Il comprend."
En effet, Demetrius Hopkins, de Philadelphie, comprend.
"Je prends chaque combat comme si je me battais pour un titre mondial, a-t-il affirmé. Je ne prends personne à la légère. Je sais qu'ils n'attendent qu'un relâchement pour me vaincre."
Bernard Hopkins a donné à Demetrius sa première paiure de gants à l'âge de huit ans et a une une grande influence dans sa carrière et sa vie.
"Je veux que mon neveu soit éventuellement à la place que j'occupe présentement", a mentionné Bernard Hopkins.
Demetrius, qui a fréquenté l'Université Temple pendant deux ans et qui prévoit terminer son cours éventuellement, a été contre les conseils de son oncle et a signé avec le promoteur Dino Duva lorsqu'il est passé chez les professionnels en 2000. Bernard, dont les batailles avec plusieurs promoteurs sont légendaires, était d'avis qu'il serait préférable pour Demetrius de demeurer un agent libre. Demetrius a depuis quitté Duva en bons termes et a signé avec Golden Boy Promotions, la compagnie détenue par Oscar De La Hoya. Bernard Hopkins est récemment devenu un partenaire de la compagnie.
"J'ai toujours été un modèle pour Demetrius, à présent je suis aussi un promoteur, a indiqué Hopkins. Il a pris la décision de ne pas écouter son oncle et d'y aller avec les Duva alors que je lui disais d'être patient et de ne pas s'en faire avec les bonis à la signature. Nous avons eu un désaccord sur ce point et il a éventuellement vu que j'avais raison. Je ne cherche pas à blâmer qui que ce soit. Dino Duva a fait quelque chose de bien parce qu'il a une fiche de 17-0-1. Mais éventuellement, Demetrius va retourner à la maison. Je vais toujours le supporter."
Hopkins apporte aussi son support dans le gymnase. Son entraîneur de longue date, Bouie Fisher, a pris Demetrius sous son aile et il sera dans son coin pour son combat contre Bravo. Bernard fait aussi du sparring avec Demetrius, malgré son avantage de 20 livres.
Demetrius a aidé son oncle à se préparer pour ses trois derniers combats et Bernard l'a aide à se préparer pour ses deux derniers.
"C'est un gros gars, alors c'est difficile d'être sur le même ring que lui, a mentionné Demetrius en parlant des séances de sparring avec son oncle. Je ne peux pas le déplacer. Je peux faire beaucoup de choses avec lui, mais je dois travailler sur certains aspects. Il ne me ménage pas. Il m'atteint avec de bons coups lorsque je fais des erreurs."
"Il n'est pas un cogneur dévastateur, loin de là, mais il est un boxeur très précis, a affirmé Bernard Hopkins. Il est constant au fil de ses combats, c'est son chemin. Lorsque ça ne fonctionne pas sur son chemin, il doit travailler. Il apprend qu'on ne doit pas abandonner l'idée du KO ou du KO technique juste parce que le gars en face de nous ne coopère pas. On doit demeurer patient, peu importe combien de temps le combat durera."
Bernard voit son neveu s'améliorer et gagner en maturité, et il croit qu'il pourra éventuellement devenir un champion.
"S'il travaille très dur, oui il peut devenir un champion, a mentionné Hopkins. Au début de l'année prochaine, soit dans environ un an, je crois qu'il pourrait être prêt à affronter un gars comme [Miguel] Cotto. Je crois qu'à ce moment, Demetrius sera prêt pour n'importe quel champion. C'est ce que je ressens dans mon coeur."