Sebastian Vettel, qui quittera Ferrari à la fin de la saison, serait en discussions avec Aston Martin (présentement connu sous le nom de Racing Point) afin de joindre l’équipe en 2021 selon le journal allemande Bild.

Ferrari a annoncé plus tôt cette saison que l’écurie et Vettel ne prolongeraient pas leur parcours ensemble. Vettel a ensuite expliqué qu’il n’avait jamais reçu une offre de la Scuderia pour 2021.

Le quadruple champion du monde aurait reçu une offre l’écurie Racing Point du milliardaire canadien Lawrence Stroll, le père du pilote de 21 ans Lance Stroll.

En janvier, Lawrence Stroll a acheté des parts importantes de l’entreprise Aston Martin dans le but d’en faire Aston Martin Racing dès 2021. Une nouvelle qui a été confirmée le 1er avril. Stroll voudra évidemment montrer la meilleure équipe possible pour le retour en Formule 1 de l’entreprise après plus de 50 ans d’absence.

Le journal allemand Bild, qui est généralement bien informé sur les plans de Vettel indique qu’une entente pourrait être rapportée plus tôt que tard dans le cas de l’Allemand.

En principe, le pilote Sergio Pérez est déjà sous contrat avec l’écurie du milliardaire canadien jusqu’à la fin de la saison 2022. Le Mexicain apporte également une somme d’argent important avec ses commanditaires. Le journal Bild rapporte toutefois que le Mexicain aurait une clause échappatoire à son contrat qui lui permettrait de joindre une autre écurie, mais que cette clause devrait être exercée d’ici le 31 juillet.

De son côté, aucune annonce officielle n’a été faite quant au contrat de Lance Stroll pour la saison 2021 et il pourrait donc – en théorie - se retrouver sans volant si son père venait à lui préférer le quadruple champion du monde et le Mexicain. Une décision qui serait très surprenante, surtout que le directeur principal de Racing Point, Otmar Szafnauer, a affirmé à quelques reprises cette année vouloir conserver les services du Québécois.

Depuis que Vettel est disponible sur le marché des pilotes, Szafnauer a continuellement nié les rumeurs comme quoi l’écurie  aurait une place pour l’Allemand.