Fortin-Simard se donne cinq ans
Golf jeudi, 18 mai 2006. 18:10 mercredi, 11 déc. 2024. 15:45
(RDS) - Keven Fortin-Simard est un nom de plus en plus connu dans le monde du golf. Âgé de seulement 20 ans, le golfeur de Roberval vient de compléter une deuxième année sur le circuit universitaire américain. Une saison ponctuée de succès et de moments plus difficiles qui lui ont permis de beaucoup mieux se connaître.
Fortin-Simard rentre tout juste à la maison au Lac Saint-Jean. Il y a quelques jours, il prenait part à une qualification en vue du US Open dans la région de Boston. Pour une 2e année consécutive, il a raté de peu son rendez-vous avec l'élite mondiale du golf.
«Ça s'est quand même déroulé relativement bien, malgré le fait que je ne me suis pas qualifié pour le 2e tour. J'ai perdu au 4e trou de prolongation. Nous étions quatre joueurs pour trois entrées. Ce sont des choses qui arrivent et je me reprendrai définitivement l'an prochain.»
De septembre à mars, tout allait rondement pour le Robervalois. Il a même savouré la victoire dans trois tournois. À quoi s'est-il particulièrement attardé cette saison?
«L'an dernier j'avais connu un bel automne, mais le printemps avait été plus dur, se souvient-il. Cette année, je voulais faire des ajustements car j'avais joué beaucoup de golf la première année. Pendant les mois de décembre et janvier, je voulais pratiquer pour être prêt, mais j'ai finalement participé à quelques tournois et j'étais particulièrement fatigué. Je n'avais pas nécessairement le goût de participer à des compétitions.»
Fatigué mentalement, Fortin-Simard se questionne actuellement à savoir si son rêve d'atteindre la PGA passera de nouveau par l'Université Memphis l'automne prochain. La relation avec son entraîneur n'est peut-être pas celle dont il a le plus besoin.
«Autant j'ai de la facilité et que tout va bien avec mon entraîneur à Québec, autant c'est un peu plus tendu et un peu plus difficile avec mon entraîneur de l'Université de Memphis. Il y a des choses sur lesquelles on ne s'entend pas toujours très bien, la communication est difficile», avoue-t-il.
Plus que jamais le jeune étudiant en administration des affaires internationales rêve au circuit ultime. Il se donne cinq ans pour l'atteindre, en travaillant sur certaines facettes de son jeu.
«C'est toujours mon jeu à l'approche des verts qui sera en progression constante. Jusqu'à quel âge est-ce que je vais jouer au golf? C'est toujours là que ça va se jouer. Je passe beaucoup de temps à essayer de m'améliorer sur et aux alentours des verts.»
Fortin-Simard rentre tout juste à la maison au Lac Saint-Jean. Il y a quelques jours, il prenait part à une qualification en vue du US Open dans la région de Boston. Pour une 2e année consécutive, il a raté de peu son rendez-vous avec l'élite mondiale du golf.
«Ça s'est quand même déroulé relativement bien, malgré le fait que je ne me suis pas qualifié pour le 2e tour. J'ai perdu au 4e trou de prolongation. Nous étions quatre joueurs pour trois entrées. Ce sont des choses qui arrivent et je me reprendrai définitivement l'an prochain.»
De septembre à mars, tout allait rondement pour le Robervalois. Il a même savouré la victoire dans trois tournois. À quoi s'est-il particulièrement attardé cette saison?
«L'an dernier j'avais connu un bel automne, mais le printemps avait été plus dur, se souvient-il. Cette année, je voulais faire des ajustements car j'avais joué beaucoup de golf la première année. Pendant les mois de décembre et janvier, je voulais pratiquer pour être prêt, mais j'ai finalement participé à quelques tournois et j'étais particulièrement fatigué. Je n'avais pas nécessairement le goût de participer à des compétitions.»
Fatigué mentalement, Fortin-Simard se questionne actuellement à savoir si son rêve d'atteindre la PGA passera de nouveau par l'Université Memphis l'automne prochain. La relation avec son entraîneur n'est peut-être pas celle dont il a le plus besoin.
«Autant j'ai de la facilité et que tout va bien avec mon entraîneur à Québec, autant c'est un peu plus tendu et un peu plus difficile avec mon entraîneur de l'Université de Memphis. Il y a des choses sur lesquelles on ne s'entend pas toujours très bien, la communication est difficile», avoue-t-il.
Plus que jamais le jeune étudiant en administration des affaires internationales rêve au circuit ultime. Il se donne cinq ans pour l'atteindre, en travaillant sur certaines facettes de son jeu.
«C'est toujours mon jeu à l'approche des verts qui sera en progression constante. Jusqu'à quel âge est-ce que je vais jouer au golf? C'est toujours là que ça va se jouer. Je passe beaucoup de temps à essayer de m'améliorer sur et aux alentours des verts.»