On va brûler le terrain
Golf mercredi, 19 juil. 2006. 14:47 dimanche, 15 déc. 2024. 16:20
Tout indique que les conditions météorologiques favoriseront les golfeurs participant cette semaine à la 135e édition de l'Omnium Britannique. Température dans le début de la trentaine et des vents légers : des conditions en fait similaires à celles qui prévalaient en l'an 2000 lorsque Tiger Woods avait remporté le tournoi alors disputé à St Andrews. Qui plus est, il avait inscrit un pointage record.
Est-ce à dire qu'il faut s'attendre à ce que la situation se reproduise cette semaine à Liverpool ? Cela est possible. Car malgré les efforts de la Royal and Ancient pour rallonger ce parcours, il reste que la fermeté des allées et des verts ramènera le terrain de Hoylake à des proportions qui n'intimident pas du tout les meilleurs golfeurs de la planète. Bien au contraire. Lors des rondes d'entraînement au cours des derniers jours, ils se sont régalés. On prévoit une pluie d'oiselets et des bas pointages en grande quantité.
Mais attention, si le Royal Liverpool ne semble pas à prime abord être un test de golf aussi sévère que Winged Foot à l'occasion du US Open, il reste qu'il s'agit d'un parcours où les allées sont très étroites. Les hors-limites sont fort nombreux et avec des allées que l'on dit très rapide, cela peut effectivement devenir un piège.
L'expérience des joueurs évoluant sur de tels terrains régulièrement au Royaume-Uni sera un net avantage. Les coups de fer avec des trajectoires très basses seront également au menu des joueurs voulant obtenir du succès. L'herbe longue ne devrait pas être un facteur déterminant. La sécheresse qui sévit depuis quelque temps sur cette région de l'Angleterre a considérablement diminué l'importance qu'aurait pu avoir le fétuque dont les longues tiges emprisonnent généralement les balles et les bâtons utilisés pour les déloger.
Il faudra aussi avoir de la chance. Un bond capricieux peut signifier qu'une balle se retrouvera sur le vert ou dans une immense fosse de sable.
Les dirigeants estiment que les conditions pour jouer un parcours de type links sont toutes réunies. Il faut tout simplement que le vent en provenance de la mer se mette de la partie pour que l'on assiste à un concours relevé.
Mais on ne prévoit ni vents forts ni ne pluie. Le beau temps devrait prévaloir au cours des prochains jours au grand plaisir des joueurs.
Ce qui a fait dire à plusieurs observateurs qu'on pourrait brûler le terrain cette semaine au Royal Liverpool. D'abord en obtenant des pointages records, mais aussi à cause du risque très élevé de feux de broussailles. Un avertissement a effectivement été émis, surtout à l'endroit des fumeurs, afin que toutes les précautions soient prises, afin d'éviter qu'une simple étincelle n'engendre une situation catastrophique.
Une petite prédiction : net avantage aux joueurs européens cette semaine. On roulera la balle bien plus qu'elle sera lobée et sur le circuit de la PGA, les roulés d'une centaine de pieds sont très très rares.
Est-ce à dire qu'il faut s'attendre à ce que la situation se reproduise cette semaine à Liverpool ? Cela est possible. Car malgré les efforts de la Royal and Ancient pour rallonger ce parcours, il reste que la fermeté des allées et des verts ramènera le terrain de Hoylake à des proportions qui n'intimident pas du tout les meilleurs golfeurs de la planète. Bien au contraire. Lors des rondes d'entraînement au cours des derniers jours, ils se sont régalés. On prévoit une pluie d'oiselets et des bas pointages en grande quantité.
Mais attention, si le Royal Liverpool ne semble pas à prime abord être un test de golf aussi sévère que Winged Foot à l'occasion du US Open, il reste qu'il s'agit d'un parcours où les allées sont très étroites. Les hors-limites sont fort nombreux et avec des allées que l'on dit très rapide, cela peut effectivement devenir un piège.
L'expérience des joueurs évoluant sur de tels terrains régulièrement au Royaume-Uni sera un net avantage. Les coups de fer avec des trajectoires très basses seront également au menu des joueurs voulant obtenir du succès. L'herbe longue ne devrait pas être un facteur déterminant. La sécheresse qui sévit depuis quelque temps sur cette région de l'Angleterre a considérablement diminué l'importance qu'aurait pu avoir le fétuque dont les longues tiges emprisonnent généralement les balles et les bâtons utilisés pour les déloger.
Il faudra aussi avoir de la chance. Un bond capricieux peut signifier qu'une balle se retrouvera sur le vert ou dans une immense fosse de sable.
Les dirigeants estiment que les conditions pour jouer un parcours de type links sont toutes réunies. Il faut tout simplement que le vent en provenance de la mer se mette de la partie pour que l'on assiste à un concours relevé.
Mais on ne prévoit ni vents forts ni ne pluie. Le beau temps devrait prévaloir au cours des prochains jours au grand plaisir des joueurs.
Ce qui a fait dire à plusieurs observateurs qu'on pourrait brûler le terrain cette semaine au Royal Liverpool. D'abord en obtenant des pointages records, mais aussi à cause du risque très élevé de feux de broussailles. Un avertissement a effectivement été émis, surtout à l'endroit des fumeurs, afin que toutes les précautions soient prises, afin d'éviter qu'une simple étincelle n'engendre une situation catastrophique.
Une petite prédiction : net avantage aux joueurs européens cette semaine. On roulera la balle bien plus qu'elle sera lobée et sur le circuit de la PGA, les roulés d'une centaine de pieds sont très très rares.