Commotions: comment assurer un bon suivi
$content.firstChildCategorie mercredi, 9 juil. 2014. 23:20 lundi, 5 sept. 2011. 18:12Depuis quelques années, les deux mots les plus populaires à travers la LNH sont « commotion » et « cérébrale ». Sidney Crosby, Marc Savard, David Booth, David Perron, Pierre-Marc Bouchard et bien d’autres joueurs talentueux ont été touchés par ce fléau. Mais comment faire pour réduire le nombre de commotions? Plusieurs personnes tentent en vain de trouver une solution.
J’ai récemment entendu un auditeur téléphoner à une émission de ligne ouverte à Team 990. Il avait une suggestion, non pas pour réduire la quantité de commotions, mais pour mieux assurer un suivi. L’homme a lancé comme idée que chaque joueur qui se présente au camp d’entraînement d’une équipe de la LNH devrait passer sous le scanner afin que l’état de son cerveau soit observé et noté. À chaque année, les médecins pourraient suivre l’évolution des dommages au cerveau survenus au cours de la saison précédente et ainsi proposer un entraînement en fonction des résultats.
Le point le plus positif d’une telle façon de faire est que le monitoring exact de leur santé cérébrale serait assuré tout au long de leur carrière. Une autre répercussion serait que certains joueurs pourraient être obligé de rater quelques matchs, ou même plusieurs, même s’ils ne ressentent aucun symptôme de commotion mais que l’état de leur cerveau s’est dégradé. Mais ça serait pour leur bien.
Qu’en pensez-vous? Est-ce qu’un scan annuel du cerveau obligatoire devrait être instauré dans la LNH? Avez-vous d‘autres suggestions?