Je me souviens que né sous le lys, j’ai grandi sous la rose. (Eugène-Étienne Taché)

Et vous, avez-vous oublié Eric Lindros, repêché par le lys mais dont la carrière aura prospéré sous le drapeau étoilé des États-Unis?

Mardi, dans l’Antichambre, Lindros sera notre invité. Plus d’une génération s’est écoulée depuis cette saga entre Marcel Aubut, propriétaire des Nordiques de Québec, et la famille Lindros. Chaque Québécois a son opinion sur le sujet et la population de la Vieille Capitale n’a pas oublié et n’a pas pardonné.

Après son refus formel de se joindre aux Nordiques, Marcel Aubut devait se résigner à se départir de son premier choix. Aubut l’a donc envoyé à Philadelphie en retour d’un paquet de fric, cinq joueurs et un choix de première ronde.

L’histoire de Lindros n’est pas banale mais la grande question est de savoir s’il avait raison de refuser de jouer à Québec. Lindros a toujours dit que sa relation avec Aubut n’avait jamais été bonne. Vous verrez ses réponses.

Nous allons aussi revenir sur les grands moments de Lindros avec le trio surnommé « Legion of Doom » qu’il pivotait avec John Leclair et Mikael Renberg.

Impossible de parler de Lindros sans revenir sur les Jeux olympiques d’Albertville, de Nagano et de Salt Lake City. Impossible de parler de Lindros sans parler des commotions cérébrales. Impossible de parler de Lindros sans parler du Temple de la renommée.

À vous maintenant de répondre : Eric Lindros mérite-t-il une place à Toronto, dans le Temple de la renommée?

Mardi, le no 88 sera notre invité dans l’Antichambre à compter de 21 h 30.

En rappel : la saga Eric Lindros