Qui imposera son style?
$content.firstChildCategorie jeudi, 10 juil. 2014. 00:24 lundi, 7 févr. 2011. 02:13Bien le bonjour mes amis et bienvenue sur la passerelle du Centre Bell à quelques minutes du match entre le Canadien et les Devils et à quelques heures du Super Bowl entre les Packers de Green Bay et les Steelers de Pittsburgh. Dans les deux cas, aujourd’hui, l’issue des matchs pourrait dépendre de l’habileté des adversaires à imposer leur style de jeu.
Du point de vue hockey, l’affrontement de cet après-midi constitue un défi de taille pour le Canadien. Après un match éreintant hier, où les émotions étaient très élevées, la présence des Devils du New Jersey se veut un casse-tête de nature bien différente pour Jacques Martin et ses joueurs. Au cours des 11 derniers matchs, les Devils ont retrouvé à la fois la façon de gagner et l’appétit pour la victoire. Jacques Lemaire, encore une fois, a réussi là où son prédécesseur avait lamentablement échoué. Par ailleurs, avec leur recul de 18 points sur la 8e place, les Devils ne représentent pas exactement le genre d’opposition qui motive naturellement. Ce sera encore une fois un jeu de patience et comme me le confiait Perry Pearn lors d’une entrevue, le premier but pourrait bien mener tout droit vers un triomphe.
Du point de vue football, ceux qui connaissent bien votre humble blogueur savent à quel point je suis un partisan de très longue date des Packers. Inutile de vous dire, donc, vers quelle équipe je penche aujourd’hui! Cela dit, je ne pavoise pas, loin de là. Les Steelers représentent une équipe coriace et intimidante, Ben Roethlisberger veut absolument faire oublier ses déboires personnels en remportant un 3e titre et l‘entraîneur Mike Tomlin jouit d‘un très haut niveau de confiance de la part de ses hommes. En fin de compte, ce Super Bowl couronnera l’attaque aérienne dévastatrice des Packers ou la défense brutale des Steelers. Chose certaine, on peut s’attendre à tout un match!
Là-dessus, mes amis, profitez pleinement de ce que RDS vous offre aujourd’hui et on se reparle depuis Boston.