Lorsque j'ai appris la nouvelle du décès de Pat Burns, je suis devenu immédiatement très ému. Il faut dire que j'ai très bien connu Pat…

Je me souviens encore d'une rencontre en Floride l'an dernier et j'avais remarqué à quel point il avait maigri. Dès ce moment-là, Jacques Lemaire et moi savions qu'il ne lui restait plus beaucoup de temps à vivre.

J'espère que les gens se souviendront de Pat l'entraîneur, celui qui a connu du succès partout où il est passé, mais plus important encore de l'homme. Un grand homme.

Comme la plupart de mes collègues dans le monde des médias, je ne comprends pas encore pourquoi Pat n'a pas été intronisé au Temple de la renommée. Il va l'être un jour, mais le comité de sélection a vraiment raté son coup cette fois-ci…

En terminant, j'aimerais profiter de cette tribune pour souhaiter mes plus sincères condoléances à sa femme Lyne, à ses enfants et à toute sa famille.

Salut Pat!

*Transcription d'une intervention au bulletin Sports 30