Les bagarres ne seront pas abolies
Hockey mardi, 9 sept. 2008. 17:23 vendredi, 26 avr. 2024. 12:04
La Ligue junior majeur du Québec dévoilera mercredi sa nouvelle réglementation en matière de violence et de bagarres pour la prochaine saison. Selon ce que nous avons appris, 95% des recommandations déposées par le comité consultatif seront retenues. RIS diffusera le point de presse des dirigeants de la Ligue junior majeure du Québec, mercredi à 11 heures.
Même si la réglementation s'annonce plus sévère, les bagarres entre deux joueurs consentants ne seront pas complètement abolies.
Selon ce qui nous a été permis d'apprendre, les gouverneurs et directeurs généraux du circuit étaient unanimes à dire que les bagarres ne représentaient pas un problème en tant que tel, mais qu'il fallait éviter les débordements.
À noter que le nombre de bagarres diminue d'année en année dans la Ligue junior majeur du Québec. En 1993-94, on retrouvait en moyenne 2,4 bagarres par rencontre. Ce chiffre a diminué à 1,3 en 2003-04 et il est passé à 0,9 la saison dernière.
"Les bagarres ne sont pas un problème. C'est la violence gratuite qui en est un", a déclaré l'entraîneur de l'Océanic de Rimouski, Clément Jodoin.
"Il y a beaucoup de choses que les joueurs ne peuvent plus faire comparativement à autrefois. Lorsque j'ai débuté, il y avait beaucoup d'intimidation mais ce n'est plus le cas aujourd'hui", a pour sa part déclaré l'entraîneur des Saguenéens de Chicoutimi, Richard Martel.
Même si la réglementation s'annonce plus sévère, les bagarres entre deux joueurs consentants ne seront pas complètement abolies.
Selon ce qui nous a été permis d'apprendre, les gouverneurs et directeurs généraux du circuit étaient unanimes à dire que les bagarres ne représentaient pas un problème en tant que tel, mais qu'il fallait éviter les débordements.
À noter que le nombre de bagarres diminue d'année en année dans la Ligue junior majeur du Québec. En 1993-94, on retrouvait en moyenne 2,4 bagarres par rencontre. Ce chiffre a diminué à 1,3 en 2003-04 et il est passé à 0,9 la saison dernière.
"Les bagarres ne sont pas un problème. C'est la violence gratuite qui en est un", a déclaré l'entraîneur de l'Océanic de Rimouski, Clément Jodoin.
"Il y a beaucoup de choses que les joueurs ne peuvent plus faire comparativement à autrefois. Lorsque j'ai débuté, il y avait beaucoup d'intimidation mais ce n'est plus le cas aujourd'hui", a pour sa part déclaré l'entraîneur des Saguenéens de Chicoutimi, Richard Martel.