On peut dire que les écarts prononcés sont à l'honneur dans l'actuel Championnat mondial de hockey junior, spécialement entre les puissantes équipes et celles plus faibles.

En effet, sur les 20 rencontres disputées dans la ronde préliminaire, il y a eu huit rencontres qui ont pris fin par un écart de six buts ou plus, incluant des gains faciles de 16-2 du Canada contre l'Allemagne, de 11-0 des États-Unis sur l'Autriche et de 10-0 du Canada contre la Suisse et il y a eu trois matchs décidés par un écart de six buts et deux par un écart de sept buts.
 
Il y a eu pas moins de neuf blanchissages dans les 20 rencontres, dont un très intéressant duel de 1-0 remporté par la Slovaquie contre la Suisse, lors du premier match du tournoi, le 25 décembre dernier, un match qui avait vu le seul but être marqué à 14:17 de la troisième période.
 
Au niveau des matchs serrés, quatre ont pris fin par un seul but d'écart, dont deux en prolongation, quatre par un écart de deux buts, deux par un écart de trois buts et deux par une différence de quatre filets.
 
Au total, il y a eu 139 buts marqués dans les 20 rencontres, une moyenne de 6,95 buts par match.
 

On peut dire que les écarts prononcés sont à l'honneur dans l'actuel Championnat mondial de hockey junior, spécialement entre les puissantes équipes et celles plus faibles.

En effet, sur les 20 rencontres disputées dans la ronde préliminaire, il y a eu huit rencontres qui ont pris fin par un écart de six buts ou plus, incluant des gains faciles de 16-2 du Canada contre l'Allemagne, de 11-0 des États-Unis sur l'Autriche et de 10-0 du Canada contre la Suisse et il y a eu trois matchs décidés par un écart de six buts et deux par un écart de sept buts.
 
Il y a eu pas moins de neuf blanchissages dans les 20 rencontres, dont un très intéressant duel de 1-0 remporté par la Slovaquie contre la Suisse, lors du premier match du tournoi, le 25 décembre dernier, un match qui avait vu le seul but être marqué à 14:17 de la troisième période.
 
Au niveau des matchs serrés, quatre ont pris fin par un seul but d'écart, dont deux en prolongation, quatre par un écart de deux buts, deux par un écart de trois buts et deux par une différence de quatre filets.
 
Au total, il y a eu 139 buts marqués dans les 20 rencontres, une moyenne de 6,95 buts par match.
 
Une différence sur la situation de l'an dernier
 
Soulignons que ce fut très différent sur le déroulement de l'an dernier, car il y avait eu beaucoup moins de matchs inégaux, seulement trois, deux par un écart de six buts et un par un écart de sept buts, un gain de 8-1 de la Finlande sur la Slovaquie, le 28 décembre 2019.
 
Il y avait eu quatre matchs décidés par un but (dont deux en prolongation), quatre par deux buts, quatre par trois buts, deux par un écart de quatre buts et trois par une différence de cinq filets.
 
Un fait surprenant, il y avait eu plus de buts marqués dans la ronde préliminaire de l'an dernier, un total de 144 dans les 20 rencontres, une moyenne de 7,20 buts par match.
 
L'Autriche a été vraiment dominée sur tous les plans !
 
Dans la présente édition du CMHJ, il y a eu les extrêmes, le Canada ayant eu une fiche parfaite de 4-0-0 pour 12 points, au premier rang des 10 équipes et l'Autriche, de même que la Suisse, dont le rendement a été de 0-4-0 pour aucun point dans leurs quatre rencontres.
 
C'est surtout sur le rendement des statistiques que cela a été vraiment inégal, car le Canada a eu un rendement de 33-4 (plus 29) sur les buts marqués-concédés, alors que l'Autriche n'a marqué qu'un but en plus d'en concéder 29, un différentiel négatif de 28 buts.
 
Soulignons que les États-Unis ont eu un différentiel de plus 20 (25 buts marqués et cinq buts concédés), ayant concédé cinq buts lors de leur premier match, un revers de 5-3, contre la Russie le 25 décembre, avant de réussir trois blanchissages lors de leurs trois derniers matchs de la ronde préliminaire, dont un impressionnant gain de 4-0, contre la Suède, jeudi soir.
 
L'an dernier, les différentiels avaient été beaucoup moins prononcés, car la Suède avait dominé avec un rendement positif de plus 12 (20 buts marqués et huit buts concédés), devant la Finlande, qui avait eu un rendement de plus neuf, marquant 19 buts et en concédant dix.
 
Sur le plan négatif, deux équipes avaient eu un différentiel de moins 14, la Slovaquie (8 buts marqués et 22 buts concédés) et le Kazakhstan, qui avait marqué sept buts et concédé 21 filets à ses adversaires. Ce pays a été remplacé par l'Autriche cette année et les résultats n'ont pas été très positifs.
 
Le Canada, qui avait remporté la médaille d'or l'an dernier, avait eu un rendement de seulement plus quatre, marquant 17 buts et concédant 13 filets à ses adversaires, lui qui avait subi une humiliante défaite de 6-0 face à la Russie, le 28 décembre 2019, dans la ronde préliminaire, avant de se racheter en l'emportant 4-3 lors du match de la finale, le 5 janvier 2020, un match dans lequel il avait surmonté un retard de 3-1 avec trois buts sans réplique en troisième période.
 
La Russie, qui menait 2-1 après deux périodes, avait augmenté son avance à 3-1, avec un but de Maxim Sorkin, à 8:46 de ce troisième vingt, avant de voir le Canada marquer le but qui rapprochait à 3-2, à 9:20 (Connor McMichael), le but égalisateur à 11:21 (Barrett Hayton) et le but victorieux à 16:02, alors que Akil Thomas menait l'équipe au précieux gain dans le match ultime.
 
Que nous réserve la ronde des éliminatoires ?