Un match que JF Jacques n'oubliera pas
Hockey mercredi, 1 déc. 2010. 23:30 jeudi, 12 déc. 2024. 13:30
On pouvait apercevoir plusieurs visages souriants dans le vestiaire des Oilers à la suite de leur victoire de 4 à 3 en prolongation face au Canadien. Cependant, personne ne semblait plus heureux que l'attaquant québécois Jean-François Jacques.
Natif de Montréal, le colosse de six pieds quatre pouces disputait seulement un deuxième match en carrière au Centre Bell et contrairement à sa première visite - qui s'était soldée par une défaite de 3-2 en prolongation - il voulait repartir de Montréal avec un beau souvenir.
« Je ne pouvais demander mieux que ça. Nous n'avons jamais lâché », a affirmé Jacques au terme de la rencontre. « C'est très plaisant de venir gagner un match au Centre Bell. Je venais souvent ici avec mon père quand j'étais plus jeune. C'est exceptionnel de vivre ça. »
Ralenti plus souvent qu'à son tour par une blessure récurrente au dos qui l'a mené à deux opérations, Jacques n'avait pas eu la chance de disputer le dernier match des Oilers à Montréal. Or, après avoir raté les deux premiers mois de la saison, le Québécois assure qu'il a tout fait pour disputer celui-ci.
« J'ai travaillé très fort l'été dernier avec Scott Livingston et Dave Campbell pour revenir en force », explique celui qui disputait un 8e match cette saison. « Pour le moment, tout va pour le mieux et j'espère que tout ça est derrière moi maintenant. C'est frustrant de se faire opérer deux fois au même endroit. »
Un rôle fait sur mesure avec les Oilers
Jean-François Jacques évolue actuellement sur la quatrième ligne des Oilers en compagnie de Colin Fraser et de Ryan Jones. Un rôle qui lui plaît énormément.
« On sait ce qu'on a à faire. Il y a des matchs où nous obtenons plus de temps de glace que d'autres, mais à chaque présence, nous essayons de fournir du momentum. C'est une tâche que j'aime. »
Même si tout se déroule bien jusqu'à présent, le joueur de 25 ans ne prend rien pour acquis quant à sa place avec les Oilers.
« J'ai souvent fait la navette entre la Ligue américaine et la Ligue nationale et je sais que dans mon cas, il n'y a rien de garanti. Disons que je travaille fort à tous les jours pour demeurer dans la LNH et faire partie de l'alignement partant.
Une jeune équipe qui apprend
Jacques déborde de confiance quand il s'attarde aux Oilers d'Edmonton. Selon lui, il ne manque pas grand-chose pour que cette équipe ne fasse sa place dans le haut du classement de l'Association Ouest.
« Cette jeune équipe est remplie de talent; il ne nous manque que de l'expérience », raconte Jacques. « Mais cette fameuse expérience, nous sommes en train de l'acquérir petit à petit. Face au Canadien, nous avons appris à déployer un effort soutenu pour revenir de l'arrière. C'est bon pour la confiance et le caractère. Nous ne voulons plus être pris à la légère par les autres équipes de la LNH.
La maturité de Taylor Hall
Tout le monde sait à quel point Taylor Hall possède un grand talent, mais qu'est-ce qui fait en sorte qu'il représente un joueur si spécial. Selon Jean-François Jacques, la jeune recrue impressionne par sa grande maturité.
« Tu vois qu'il a joué déjà des matchs importants dans sa vie. Il se prépare vraiment bien pour chaque match et il va toujours se présenter. Ce genre de jeune joueur de talent a tendance à prendre une soirée de repos une fois de temps en temps, mais pas lui. Taylor va continuer à s'améliorer et croyez-moi, il va devenir tout un joueur. »
Natif de Montréal, le colosse de six pieds quatre pouces disputait seulement un deuxième match en carrière au Centre Bell et contrairement à sa première visite - qui s'était soldée par une défaite de 3-2 en prolongation - il voulait repartir de Montréal avec un beau souvenir.
« Je ne pouvais demander mieux que ça. Nous n'avons jamais lâché », a affirmé Jacques au terme de la rencontre. « C'est très plaisant de venir gagner un match au Centre Bell. Je venais souvent ici avec mon père quand j'étais plus jeune. C'est exceptionnel de vivre ça. »
Ralenti plus souvent qu'à son tour par une blessure récurrente au dos qui l'a mené à deux opérations, Jacques n'avait pas eu la chance de disputer le dernier match des Oilers à Montréal. Or, après avoir raté les deux premiers mois de la saison, le Québécois assure qu'il a tout fait pour disputer celui-ci.
« J'ai travaillé très fort l'été dernier avec Scott Livingston et Dave Campbell pour revenir en force », explique celui qui disputait un 8e match cette saison. « Pour le moment, tout va pour le mieux et j'espère que tout ça est derrière moi maintenant. C'est frustrant de se faire opérer deux fois au même endroit. »
Un rôle fait sur mesure avec les Oilers
Jean-François Jacques évolue actuellement sur la quatrième ligne des Oilers en compagnie de Colin Fraser et de Ryan Jones. Un rôle qui lui plaît énormément.
« On sait ce qu'on a à faire. Il y a des matchs où nous obtenons plus de temps de glace que d'autres, mais à chaque présence, nous essayons de fournir du momentum. C'est une tâche que j'aime. »
Même si tout se déroule bien jusqu'à présent, le joueur de 25 ans ne prend rien pour acquis quant à sa place avec les Oilers.
« J'ai souvent fait la navette entre la Ligue américaine et la Ligue nationale et je sais que dans mon cas, il n'y a rien de garanti. Disons que je travaille fort à tous les jours pour demeurer dans la LNH et faire partie de l'alignement partant.
Une jeune équipe qui apprend
Jacques déborde de confiance quand il s'attarde aux Oilers d'Edmonton. Selon lui, il ne manque pas grand-chose pour que cette équipe ne fasse sa place dans le haut du classement de l'Association Ouest.
« Cette jeune équipe est remplie de talent; il ne nous manque que de l'expérience », raconte Jacques. « Mais cette fameuse expérience, nous sommes en train de l'acquérir petit à petit. Face au Canadien, nous avons appris à déployer un effort soutenu pour revenir de l'arrière. C'est bon pour la confiance et le caractère. Nous ne voulons plus être pris à la légère par les autres équipes de la LNH.
La maturité de Taylor Hall
Tout le monde sait à quel point Taylor Hall possède un grand talent, mais qu'est-ce qui fait en sorte qu'il représente un joueur si spécial. Selon Jean-François Jacques, la jeune recrue impressionne par sa grande maturité.
« Tu vois qu'il a joué déjà des matchs importants dans sa vie. Il se prépare vraiment bien pour chaque match et il va toujours se présenter. Ce genre de jeune joueur de talent a tendance à prendre une soirée de repos une fois de temps en temps, mais pas lui. Taylor va continuer à s'améliorer et croyez-moi, il va devenir tout un joueur. »