Bravo l'Italie!
Soccer dimanche, 9 juil. 2006. 19:12 dimanche, 15 déc. 2024. 02:42
C'est fini. Après tant d'heures et de jours, tant de matches et de mi-temps, la Coupe du Monde est derrière nous. La finale aura été tissée de drames avant d'en arriver à son aboutissement final, une victoire attendue de l'Italie. Une Italie qui a gagné en respect au fil des matches qu'elle a disputés.
Il y a bien des choses qui m'ont agacée dans cette équipe en phase de groupe, des entorses à la règle, des fautes non-sanctionnées, des comportements discutables. Mais tranquillement l'Italie, la vraie, la talentueuse, a pris sa place. Et c'est elle qu'on a vue face à l'Ukraine, qu'on a revue face à l'Allemagne et qui finalement s'est présentée face à la France. L'Italie la voulait désespérément cette Coupe, un peu en panacée à un football qui souffre dans son pays, un peu pour se dire qu'elle est malgré tout capable de grandes choses.
D'elle, nous retiendrons Cannavaro, Pirlo, Gattuso, nous retiendrons 10 buteurs en 12 réussites, nous retiendrons une équipe qui s'est soudée dans l'adversité et qui est allée concrétiser son rêve, qui a atteint sa 4e étoile.
De la France, c'est le fort malheureux geste de Zidane qui restera imprimé dans nos mémoires, un geste totalement incompréhensible qui fait quitter un joueur qui aura marqué une époque sur une note amère, immensément triste. La France des Bleus méritait mieux que ça. Son capitaine lui aura tourné le dos à la dernière minute, elle qui avait tant travaillé pour arriver jusqu'au bout. Chapeau à Ribéry, Viera, Malouda. Ce sont eux qui porteront la France de demain, Viera un peu moins puisqu'il est déjà trentenaire.
Les deux équipes se rencontreront à nouveau en septembre, les deux tentant de se qualifier dans un groupe terrible pour une place à l'Euro 2008. L'Italie aura encore la saveur de sa Coupe au bord des lèvres
Pour nous ce fut un mois intense, mais un mois fascinant. Côtoyer jour après jour les meilleures équipes du monde tient du privilège et de l'extase. Il faudra quelques jours pour décanter tout ça, quelques jours à peine et on aura envie que ça recommence tout de suite!
Il y a bien des choses qui m'ont agacée dans cette équipe en phase de groupe, des entorses à la règle, des fautes non-sanctionnées, des comportements discutables. Mais tranquillement l'Italie, la vraie, la talentueuse, a pris sa place. Et c'est elle qu'on a vue face à l'Ukraine, qu'on a revue face à l'Allemagne et qui finalement s'est présentée face à la France. L'Italie la voulait désespérément cette Coupe, un peu en panacée à un football qui souffre dans son pays, un peu pour se dire qu'elle est malgré tout capable de grandes choses.
D'elle, nous retiendrons Cannavaro, Pirlo, Gattuso, nous retiendrons 10 buteurs en 12 réussites, nous retiendrons une équipe qui s'est soudée dans l'adversité et qui est allée concrétiser son rêve, qui a atteint sa 4e étoile.
De la France, c'est le fort malheureux geste de Zidane qui restera imprimé dans nos mémoires, un geste totalement incompréhensible qui fait quitter un joueur qui aura marqué une époque sur une note amère, immensément triste. La France des Bleus méritait mieux que ça. Son capitaine lui aura tourné le dos à la dernière minute, elle qui avait tant travaillé pour arriver jusqu'au bout. Chapeau à Ribéry, Viera, Malouda. Ce sont eux qui porteront la France de demain, Viera un peu moins puisqu'il est déjà trentenaire.
Les deux équipes se rencontreront à nouveau en septembre, les deux tentant de se qualifier dans un groupe terrible pour une place à l'Euro 2008. L'Italie aura encore la saveur de sa Coupe au bord des lèvres
Pour nous ce fut un mois intense, mais un mois fascinant. Côtoyer jour après jour les meilleures équipes du monde tient du privilège et de l'extase. Il faudra quelques jours pour décanter tout ça, quelques jours à peine et on aura envie que ça recommence tout de suite!