La rivalité se transporte à Toronto
Tennis lundi, 7 août 2006. 20:16 jeudi, 12 déc. 2024. 03:28
(RDS.ca) - La tranche masculine de la coupe Rogers se mettait en branle lundi à Toronto et en ce prélude au U.S. Open, le moment tant attendu demeure, encore une fois, une finale entre Roger Federer et Rafael Nadal. Depuis le tournoi de Wimbledon, où ces deux rivaux se sont affronté, c'est officiel, le tennis masculin à une rivalité.
C'est vraiment ce dont le sport avait besoin. Il y a eu Sampras-Agassi, il y a maintenant Federer-Nadal. Deux contrastes, deux joueurs aux opposés.
Federer, le classique. Toujours vêtu de blanc, il ne transpire pratiquement pas sur le court tellement son jeu est fluide. Il excelle dans tous les aspects du jeu, que ce soit au service, en contre-attaque ou au filet.
Nadal est le joueur que les plus jeunes préfèrent. Cheveux longs, manche coupées, il se donne corps et âme, court toutes les balles.
Un avantage à Federer sur la surface dure de Toronto? Petit, très petit.
Parmi ceux qui pourraient brouiller les cartes et mêler l'ordre établi à Toronto, il y a Tomas Berdych, tombé de Daniel Nestor en ouverture de tournoi. Berdych, celui-là même qui avait battu Federer aux Jeux olympiques et qui avait battu Nadal l'an dernier à Cincinnati. Il est surveiller, tout comme le Russe Marat Safin, qui revient en force.
Gardez aussi un œil sur Marcos Baghdatis, l'électrisant Chypriote, qui connaît une saison incroyable : finale contre Federer en Australie, demi-finale contre Nadal à Wimbledon. Il est capable de tout et il adore cette surface.
À suivre
C'est vraiment ce dont le sport avait besoin. Il y a eu Sampras-Agassi, il y a maintenant Federer-Nadal. Deux contrastes, deux joueurs aux opposés.
Federer, le classique. Toujours vêtu de blanc, il ne transpire pratiquement pas sur le court tellement son jeu est fluide. Il excelle dans tous les aspects du jeu, que ce soit au service, en contre-attaque ou au filet.
Nadal est le joueur que les plus jeunes préfèrent. Cheveux longs, manche coupées, il se donne corps et âme, court toutes les balles.
Un avantage à Federer sur la surface dure de Toronto? Petit, très petit.
Parmi ceux qui pourraient brouiller les cartes et mêler l'ordre établi à Toronto, il y a Tomas Berdych, tombé de Daniel Nestor en ouverture de tournoi. Berdych, celui-là même qui avait battu Federer aux Jeux olympiques et qui avait battu Nadal l'an dernier à Cincinnati. Il est surveiller, tout comme le Russe Marat Safin, qui revient en force.
Gardez aussi un œil sur Marcos Baghdatis, l'électrisant Chypriote, qui connaît une saison incroyable : finale contre Federer en Australie, demi-finale contre Nadal à Wimbledon. Il est capable de tout et il adore cette surface.
À suivre