McGregor n'a toujours pas réintégré le programme anti-dopage de l'USADA
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Conor McGregor n'a toujours pas réintégré le progamme anti-dopage de l'UFC, une nécessité afin qu'il puisse combattre à nouveau dans l'organisation.
C'est du moins ce qu'a révélé jeudi à TSN le président Dana White, avant d'ajouter que son groupe souhaite promouvoir un combat de McGregor avant la fin de 2023.
Six mois de tests négatifs sont requis afin d'obtenir le feu vert pour monter dans l'octogone.
Récemment, McGregor a consacré une partie de ses énergies à diriger au sein de L'Ultime Combattant, dans le cadre d'une confrontation face à l'équipe de Michael Chandler, dominée 6-0 par ce dernier.
En mai dernier, l'United State Anti-Doping Agency (USADA) a confirmé qu'elle avait tenté une approche auprès de McGregor afin qu'il réintègre la banque des athlètes testés. Il ne s'y retrouve plus depuis qu'il a subi une fracture à une jambe durant son choc face à Dustin Poirier, en 2021.
Puisqu'on se retrouve déjà en juillet, il faudrait probablement une exemption spéciale pour permettre au Notorious One de renouer avec l'action en 2023.
Pour l'instant, White ne s'est pas montré trop inquiet quant au dénouement de cette situation.
« Nous verrons bien. C'est ce qu'on sait maintenant, mais les choses pourraient bouger. D'être ici et de penser à un paquet de scénarios hypothétiques ne nous mènera nulle part. Je suis concentré sur ce qui se passera samedi, puis le suivant. L'UFC 300 ne me traverse même pas l'esprit ces jours-ci. »