164 contrôles, un cas litigieux
Cyclisme mercredi, 17 août 2005. 11:30 dimanche, 10 nov. 2024. 06:50
AIGLE, Suisse (AFP) - Un seul cas litigieux, classé sans suite après avis d'experts, a été constaté par la Commission antidopage de l'Union cycliste internationale (UCI) sur 164 contrôles effectués lors du Tour de France-2005, a annoncé mercredi l'UCI dans un communiqué.
Sur les 164 contrôles effectués, il y a eu 143 prélèvements urinaires et 21 prélèvements sanguins.
"Tous les échantillons d'urine et de sang prélevés lors du Tour de France 2005, excepté un échantillon contenant les substances pseudoéphédrine et norpseudoéphédrine, ont donné des résultats négatifs en ce qui concerne les produits dopants et méthodes interdites", indique l'UCI.
"Des investigations approfondies de l'échantillon contenant les deux substances ont mis en évidence que la présence de norpseudoéphédrine en quantité faible peut résulter de la prise de pseudoéphédrine (produit autorisé) en quantité plus importante. Après avoir obtenu l'avis de trois experts scientifiques reconnus mondialement, la Commission antidopage de l'UCI a décidé de classer ce cas", indique le communiqué.
L'UCI précise qu'elle a procédé au contrôle de toutes les autorisations d'usage à des fins thérapeutiques (AUT). "Tous les coureurs ayant eu recours à des traitements médicaux ont produit des AUT, conformément aux exigences imposées par le règlement antidopage de l'UCI", précise le communiqué.
La Fédération internationale informe en outre que, "en collaboration avec le ministère de la Jeunesse et des Sports français, le laboratoire de Châtenay-Malabry (banlieue sud de Paris) a également procédé, en addition des recherches traditionnelles, à la recherche de l'EPO, des transfusions sanguines et des hémoglobines synthétiques".
Sur les 164 contrôles effectués, il y a eu 143 prélèvements urinaires et 21 prélèvements sanguins.
"Tous les échantillons d'urine et de sang prélevés lors du Tour de France 2005, excepté un échantillon contenant les substances pseudoéphédrine et norpseudoéphédrine, ont donné des résultats négatifs en ce qui concerne les produits dopants et méthodes interdites", indique l'UCI.
"Des investigations approfondies de l'échantillon contenant les deux substances ont mis en évidence que la présence de norpseudoéphédrine en quantité faible peut résulter de la prise de pseudoéphédrine (produit autorisé) en quantité plus importante. Après avoir obtenu l'avis de trois experts scientifiques reconnus mondialement, la Commission antidopage de l'UCI a décidé de classer ce cas", indique le communiqué.
L'UCI précise qu'elle a procédé au contrôle de toutes les autorisations d'usage à des fins thérapeutiques (AUT). "Tous les coureurs ayant eu recours à des traitements médicaux ont produit des AUT, conformément aux exigences imposées par le règlement antidopage de l'UCI", précise le communiqué.
La Fédération internationale informe en outre que, "en collaboration avec le ministère de la Jeunesse et des Sports français, le laboratoire de Châtenay-Malabry (banlieue sud de Paris) a également procédé, en addition des recherches traditionnelles, à la recherche de l'EPO, des transfusions sanguines et des hémoglobines synthétiques".