Un club coupe le courant dans le stade pour empêcher ses rivaux de célébrer le championnat

Comme dirait Méo dans Les Boys : « C'est chien, c'est chien, c'est chien, c'est chien. » Comme dirait Méo dans Les Boys : « C'est chien, c'est chien, c'est chien, c'est chien. » - @liga1_play / X
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Après un verdict nul de 1-1 lors du match aller, l'Universitario de Deportes a remporté le championnat du Pérou de football, mercredi, grâce à une victoire de 2-0 contre son éternel rival, l'Alianza Lima.

Les nouveaux rois de la Liga 1 ont été sacrés champions sur la pelouse ennemie, ce qui n'a pas fait le bonheur des locaux.

Par le plus grand des « hasards », quelques instants après le dernier coup de sifflet, les lumières du stade Alejandro Villanueva se sont éteintes, laissant tout le monde dans l'obscurité...

Que c'est mesquin!

Personne ne jouait à flash tes lumières. C'est demeuré ainsi.

L'Universitario a dû célébrer à la chandelle, littéralement.

En fermant la « switch », l'organisation de Lima a mis la main sur le titre du plus grand mauvais perdant du monde du sport. Sa réputation est entachée, pour ne pas dire noircie.

Inutile d'ajouter que l'absence de clarté a gâché la cérémonie de remise du trophée, entre autres. Des sanctions disciplinaires devraient être imposées. C'est ce que Deportes exige.

Est-ce qu'une telle scène pourrait se produire un jour dans la LNH? Imaginez si le Centre Bell décidait de couper le courant au moment où l'autre équipe remporte la Coupe Stanley sur sa glace. On deviendrait la risée de la ligue; plus personne n'oserait porter un chandail du Tricolore.

(Crédit : @liga1_play/X)