Les coachs ne font que passer à Columbus
Au cœur d'une tempête concernant une présumée atteinte à la vie privée de ses troupes, Mike Babcock s'est déguisé en courant d'air au cours du week-end.
Le controversé homme de hockey a démissionné de son poste d'entraîneur-chef des Blue Jackets, un rôle qu'il occupait depuis cet été seulement. Son règne à Columbus prend donc fin avant d'avoir vraiment commencé.
Babcock a toujours nié les faits reprochés, soit ceux d'avoir demandé à au moins un joueur de lui montrer des photos sauvegardées dans son téléphone cellulaire.
Les coachs ne font pas long feu
Lorsqu'on parle de dirigeants derrière le banc, les dieux du hockey ont peut-être jeté un sort sur les Blue Jackets.
Dans l'entourage de la formation, la durée de vie moyenne d'un coach en chef est de moins de deux saisons (157 matchs). Sur les onze entraîneurs qui sont passés à Columbus depuis l'introduction de l'équipe en 2000-2001, quatre n'ont pas atteint le cap des 82 départs.
Il faut rendre à César ce qui est à César; Torto a fait du bon boulot en Ohio.
Mike Babcock finishes his Blue Jackets coaching career in the top 10 in franchise history for wins 🤯 pic.twitter.com/fNUFiifsET
— 𝗜𝗮𝗻𝘄 🇨🇦 (@ianwcanucks) September 17, 2023
Jusqu'à aujourd'hui, on croyait que la marque de cinq rencontres établie par Gary Agnew en 2007 allait être imbattable. « Tiens ma bière », a répondu Mike Babcock.
On souhaite au Québécois Pascal Vincent, le nouvel entraîneur des Jackets, plus de succès que ses prédécesseurs.
Le Québécois Pascal Vincent remplacera Mike Babcock à la barre des Blue Jackets!https://t.co/EVXDlrvro8 pic.twitter.com/0aKlKBU3VO
— RDS (@RDSca) September 17, 2023
(Crédit : @ianwcanucks/Twitter)