Barbora Krejcikova et Jelena Ostapenko en finale à Birmingham
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Les deux premières têtes de séries du tournoi WTA 250 de Birmingham, la Tchèque Barbora Krejcíková et la Lettone Jelena Ostapenko, se sont qualifiées pour la finale, samedi, en dominant la Chinoise Zhu Lin et la Russe Anastasia Potapova.
Face à Zhu, Krejcíková, 12e joueuse mondiale et lauréate à Roland-Garros en 2021, a toujours fait la course en tête et n'a jamais été inquiétée par son adversaire, 39e au classement WTA.
Dimanche, elle tentera d'ajouter un septième titre à son palmarès, le deuxième cette saison après son sacre à Dubaï.
En demi-finale, elle a pris rapidement le service de la Chinoise dans la première manche, qu'elle a empoché en 48 minutes.
Après une pause médicale pour permettre à Zhu de se faire manipuler l'épaule droite, elle a débuté la seconde manche avec un double break pour mener 4-0, puis 5-1.
La Tchèque a concrétisé sa deuxième balle de match grâce à un coup droit gagnant qui lui permet de disputer sa première finale sur gazon, à huit jours du coup d'envoi de Wimbledon, où son meilleur résultat est un 8e de finale, en 2021.
Elle y retrouvera Ostapenko, elle aussi une ancienne championne sur la terre battue parisienne (2017) et demi-finaliste à Wimbledon l'année suivante.
Samedi, la 17e joueuse WTA a bataillé trois sets et mis plus de deux heures pour venir à bout de Potapova, 21e mondiale et tête de série no 4.
Elle a pourtant réussi à faire le bris au 7e jeu de la première manche mais a cédé son engagement dans la foulée.
Lors d'un interminable 10e jeu, elle a sauvé 3 balles de bris et encore deux sur son service suivant avant de craquer sur la 6e balle de manche (5-7).
Ostapenko, tombeuse de Venus Williams au bris d'égalité dans le troisième set du deuxième tour, s'est fâchée au début du deuxième set, menant rapidement 4-0 pour conclure 6-2 en 32 minutes et revenir à une manche partout.
Dans le dernier set, elle a fait la course en tête, même si Potapova a réussi à revenir à 3-3 après avoir été menée 3-1.
La Lettone a eu le dernier mot en refaisant le break dans la foulée pour concrétiser dès sa première balle de match (6-4).