CH : Brisebois cherchait un nouveau défi
Hockey jeudi, 15 juil. 2010. 08:46 samedi, 14 déc. 2024. 08:56
TAMPA, Fla. - Julien Brisebois a accepté l'offre du Lightning de Tampa et il devient l'adjoint au directeur général Steve Yzerman, a confirmé RDS en primeur vendredi.
Brisebois, qui occupait le poste de directeur général des Bulldogs de Hamilton dans la Ligue américaine de hockey, aura donc l'occasion de travailler de nouveau en compagnie de Guy Boucher, qui était son entraîneur en chef avec le club-école du Canadien la saison dernière.
Lors d'une entrevue téléphonique à laquelle ont participé quelques membres des médias montréalais vendredi, Brisebois a avoué qu'il préparait sa sortie depuis déjà un peu plus d'un an.
"L'été dernier, mon contrat venait à échéance avec l'organisation du Canadien. Quand Bob Gainey m'a approché pour renouveler mon contrat, je lui ai dit que je songeais à ce que la saison 2009-10 soit ma dernière avec l'organisation. Je croyais que si je voulais faire avancer ma carrière, j'aurais avantage à aller acquérir des expériences nouvelles, voir comment les choses sont faites dans une autre organisation, travailler avec de nouvelles personnes et élargir mon réseau de contacts."
Mis au courant de la situation lorsqu'il a pris la chaise de Gainey, Pierre Gauthier s'est empressé de faire comprendre à Brisebois que sa présence à Montréal était appréciée, mais il n'a pas réussi à le faire changer d'idée.
"Pierre m'a fait une offre généreuse, il m'a dit qu'il avait besoin de moi et il m'a conseillé de rester à Montréal jusqu'à ce que j'aie une autre offre qui me convenait, a raconté Brisebois. Après mes premiers pourparlers avec Steve Yzerman, j'ai rapidement vu qu'on avait une vision commune sur la façon d'opérer une organisation de la LNH, qu'on serait capable de travailler ensemble et de connaître du succès."
Dans ses nouvelles fonctions, Brisebois secondera Yzerman pour toutes les questions concernant les négociations de contrat, le plafond salarial et l'application de la convention collective.
"Nous sommes heureux d'accueillir Julien dans notre équipe de direction, a mentionné Yzerman par voie de communiqué. Il est considéré comme l'un des meilleurs jeunes dirigeants dans le monde du hockey et il devrait se révéler un atout précieux dans nos efforts visant à bâtir une organisation de premier plan."
Brisebois, âgé de 33 ans, a passé les neuf dernières saisons avec le Canadien. Embauché d'abord comme directeur des affaires légales, il est devenu directeur des opérations hockey en 2003. On a ajouté à ses responsabilités en août 2007 en le nommant directeur général des Bulldogs, ce qui a fait de lui le plus jeune DG de la ligue.
Sous sa gouverne, les Bulldogs n'ont cessé de s'améliorer, passant d'une fiche de 36-34-10 en 2007-08 à 52-17-11 la saison dernière.
Originaire de Greenfield Park, BriseBois a travaillé pour la firme d'avocats Heenan Blaikie avant de se joindre au Canadien. Dans ce rôle, il a souvent agi comme conseiller dans des négociations de contrat pour plusieurs équipes de la LNH et du Baseball majeur.
"Ça m'arrive d'avoir des petits pincements au cœur, c'est sûr. Je quitte le Québec, mais aussi des collègues de travail qui sont devenus des amis. Mais quand je regarde vers l'avant, je suis enthousiaste", a conclu Brisebois.
Brisebois, qui occupait le poste de directeur général des Bulldogs de Hamilton dans la Ligue américaine de hockey, aura donc l'occasion de travailler de nouveau en compagnie de Guy Boucher, qui était son entraîneur en chef avec le club-école du Canadien la saison dernière.
Lors d'une entrevue téléphonique à laquelle ont participé quelques membres des médias montréalais vendredi, Brisebois a avoué qu'il préparait sa sortie depuis déjà un peu plus d'un an.
"L'été dernier, mon contrat venait à échéance avec l'organisation du Canadien. Quand Bob Gainey m'a approché pour renouveler mon contrat, je lui ai dit que je songeais à ce que la saison 2009-10 soit ma dernière avec l'organisation. Je croyais que si je voulais faire avancer ma carrière, j'aurais avantage à aller acquérir des expériences nouvelles, voir comment les choses sont faites dans une autre organisation, travailler avec de nouvelles personnes et élargir mon réseau de contacts."
Mis au courant de la situation lorsqu'il a pris la chaise de Gainey, Pierre Gauthier s'est empressé de faire comprendre à Brisebois que sa présence à Montréal était appréciée, mais il n'a pas réussi à le faire changer d'idée.
"Pierre m'a fait une offre généreuse, il m'a dit qu'il avait besoin de moi et il m'a conseillé de rester à Montréal jusqu'à ce que j'aie une autre offre qui me convenait, a raconté Brisebois. Après mes premiers pourparlers avec Steve Yzerman, j'ai rapidement vu qu'on avait une vision commune sur la façon d'opérer une organisation de la LNH, qu'on serait capable de travailler ensemble et de connaître du succès."
Dans ses nouvelles fonctions, Brisebois secondera Yzerman pour toutes les questions concernant les négociations de contrat, le plafond salarial et l'application de la convention collective.
"Nous sommes heureux d'accueillir Julien dans notre équipe de direction, a mentionné Yzerman par voie de communiqué. Il est considéré comme l'un des meilleurs jeunes dirigeants dans le monde du hockey et il devrait se révéler un atout précieux dans nos efforts visant à bâtir une organisation de premier plan."
Brisebois, âgé de 33 ans, a passé les neuf dernières saisons avec le Canadien. Embauché d'abord comme directeur des affaires légales, il est devenu directeur des opérations hockey en 2003. On a ajouté à ses responsabilités en août 2007 en le nommant directeur général des Bulldogs, ce qui a fait de lui le plus jeune DG de la ligue.
Sous sa gouverne, les Bulldogs n'ont cessé de s'améliorer, passant d'une fiche de 36-34-10 en 2007-08 à 52-17-11 la saison dernière.
Originaire de Greenfield Park, BriseBois a travaillé pour la firme d'avocats Heenan Blaikie avant de se joindre au Canadien. Dans ce rôle, il a souvent agi comme conseiller dans des négociations de contrat pour plusieurs équipes de la LNH et du Baseball majeur.
"Ça m'arrive d'avoir des petits pincements au cœur, c'est sûr. Je quitte le Québec, mais aussi des collègues de travail qui sont devenus des amis. Mais quand je regarde vers l'avant, je suis enthousiaste", a conclu Brisebois.