L'entraîneur de l'Avalanche du Colorado, Patrick Roy, a confié à nos collègues de l'Antichambre à RDS lundi que son organisation n'avait jamais songé à repêcher le défenseur Seth Jones lors du dernier repêchage et qu'il n'avait même jamais alimenté les discussions de l'état-major de l'équipe.

L'équipe a utilisé le premier choix du repêchage pour sélectionner l'ancien des Mooseheads de Halifax Nathan MacKinnon.

Casseau retrouve son fauteuil bleu

L'ancien pilote des Remparts de Québec était bien placé pour voir le jeune homme se développer dans la LHJMQ. « Moi, j'étais vendu à MacKinnon depuis qu'il a 16 ans. Ç’a été une décision d'organisation et Joe Sakic y croyait vraiment. »

Originaire de Denver, nombreux sont ceux qui ont cru que l'Avalanche utiliserait son premier choix pour choisir un espoir local, mais Roy a déclaré que Jones n'était pas dans les plans de l'organisation. « Il ne faisait pas partie des discussions et même si je n'avais pas été avec le club, l'Avalanche ne l'aurait pas repêché de toute façon. Il était clair pour nous que les Jonathan Drouin, Aleksander Barkov et MacKinnon étaient tous en avant de Jones. C'était clair pour nous qu'on y allait avec l'un de ces trois joueurs.»

Roy a été plus qu'élogieux à l'endroit du jeune homme qui ne cesse de l'impressionner depuis l'ouverture de la saison. « Il veut faire la différence. Les gens vont remarquer comment il déborde le long de la bande. La première réaction quand on le voit partir, c'est « Wow! » Ses deux trois premières enjambées sont exceptionnelles. »

Un match spécial

MacKinnon poursuit son développement et il continue de se révéler. « En début de saison, il jouait environ 14 ou 15 minutes par rencontre parce que j'étais un peu inquiet de l'envoyer sur la glace en fin de partie. Ça lui arrivait parfois de rater des responsabilités défensives, mais depuis deux mois, il joue au moins 20 minutes par partie parce qu'on peut lui faire confiance en défense. »

Chez les vétérans, Roy aime bien le travail de l'un de ses défenseurs. « À part le gardien Semyon Varlamov, je dirais qu'une des belles surprises est Erik Johnson, qui joue du gros hockey à la ligne bleue. Il a été notre meilleur défenseur depuis le début de la saison. Il joue avec beaucoup de confiance. Vous allez le voir monter la rondelle mardi. »

Roy a d'ailleurs confié son gardien aux mains expertes de François Allaire, et ce, même avant d'accepter l'offre de l'Avalanche. « J'ai dit à François : "j'ai un gardien de 25 ans qui a connu deux saisons correctes sans plus et je pense que vous pourriez avoir une connexion entre vous deux et ce serait un défi extraordinaire pour toi". »

Un premier match contre le Canadien

Roy est visiblement heureux de croiser le fer contre le Canadien au Centre Bell, mais il avoue que ce sera nettement moins émotif que lors de son premier match à Montréal après la transaction qui l'a fait passer à l'Avalanche en 1995. « Les circonstances seront complètement différentes. Je reviens affronter le Canadien dans un contexte beaucoup plus agréable. Je pense que le match contre Ottawa samedi sera un point tournant pour Montréal et je m'attends à rencontrer une équipe affamée. »

Jamais banal un passage à Montréal

Roy a aussi confié que l'appui populaire des partisans du Canadien dans le but de trouver un successeur à Randy Cunneyworth lors d'un sondage il y a deux ans lui avait fait chaud au coeur. « Au niveau de l'ego, je suis content de voir que les gens m'apprécient encore. Je m'attends à une belle soirée pour tout un chacun. Il faut offrir un bon show, mais à la fin, ce sont les deux points qui comptent. »

Après dix ans dans les rangs juniors, Roy a eu le temps de cultiver son style, mais il a expliqué avoir été inspiré par les entraîneurs qui sont passés sur son chemin durant sa carrière. Un ancien pilote du Canadien l'a particulièrement inspiré pour sur le jeu en défensive. « Pat Burns jouait un bon système défensif alors c'est sûr que je m'en inspire. Jacques Demers lui, avait une approche extraordinaire. Il nous parlait bien et je pense que c'est important de donner l'heure juste. »L'entraîneur de l'Avalanche du Colorado, Patrick Roy, a confié à nos collègues de l'Antichambre à RDS lundi que son organisation n'avait jamais songé à repêcher le défenseur Seth Jones lors du dernier repêchage et qu'il n'avait même jamais alimenté les discussions de l'état major de l'équipe.

 

L'équipe a utilisé le premier choix du repêchage pour sélectionner l'ancien des Mooseheads de Halifax Nathan MacKinnon.

Casseau retrouve son fauteuil bleu

L'ancien pilote des Remparts de Québec était bien placé pour voir le jeune homme se développer dans la LHJMQ. « Moi, j'étais vendu à MacKinnon depuis qu'il a 16 ans. Ç’a été une décision d'organisation et Joe Sakic y croyait vraiment. »

Originaire de Denver, nombreux sont ceux qui ont cru que l'Avalanche utiliserait son premier choix pour choisir un espoir local, mais Roy a déclaré que Jones n'était pas dans les plans de l'organisation. « Il ne faisait pas partie des discussions et même si je n'avais pas été avec le club, l'Avalanche ne l'aurait pas repêché de toute façon. Il était clair pour nous que les Jonathan Drouin, Aleksander Barkov et MacKinnon étaient tous en avant de Jones. C'était clair pour nous qu'on y allait avec l'un de ces trois joueurs.»

Roy a été plus qu'élogieux à l'endroit du jeune homme qui ne cesse de l'impressionner depuis l'ouverture de la saison. « Il veut faire la différence. Les gens vont remarquer comment il déborde le long de la bande. La première réaction quand on le voit partir, c'est « Wow! » Ses deux trois premières enjambées sont exceptionnelles.»

Un match spécial

MacKinnon poursuit son développement et il continue de se révéler. « En début de saison, il jouait environ 14 ou 15 minutes par rencontre parce que j'étais un peu inquiet de l'envoyer sur la glace en fin de partie. Ça lui arrivait parfois de rater des responsabilités défensives, mais depuis deux mois, il joue au moins 20 minutes par partie parce qu'on peut lui faire confiance en défense. »

Chez les vétérans, Roy aime bien le travail de l'un de ses défenseurs. « À part le gardien Semyon Varlamov, je dirais qu'une des belles surprises est Erik Johnson, qui joue du gros hockey à la ligne bleue. Il a été notre meilleur défenseur depuis le début de la saison. Il joue avec beaucoup de confiance. Vous allez le voir monter la rondelle mardi. »

Roy a d'ailleurs confié son gardien aux mains expertes de François Allaire, et ce, même avant d'accepter l'offre de l'Avalanche. « J'ai dit à François, « j'ai un gardien de 25 ans qui a connu deux saisons correctes sans plus et je pense que vous pourriez avoir une connexion entre vous deux et ce serait un défi extraordinaire pour toi». »

Un premier match contre le Canadien

Roy est visiblement heureux de croiser le fer contre le Canadien au Centre Bell, mais il avoue que ce sera nettement moins émotif que lors de son premier match à Montréal après la transaction qui l'a fait passer à l'Avalanche en 1995. « Les circonstances seront complètement différentes. Je reviens affronter le Canadien dans un contexte beaucoup plus agréable. Je pense que le match contre Ottawa samedi sera un point tournant pour Montréal et je m'attends à rencontrer une équipe affamée. »

Jamais banal un passage à Montréal

Roy a aussi confié que l'appui populaire des partisans du Canadien dans le but de trouver un successeur à Randy Cunneyworth lors d'un sondage il y a deux ans lui avait fait chaud au coeur. « Au niveau de l'ego, je suis content de voir que les gens m'apprécient encore. Je m'attends à une belle soirée pour tout un chacun. Il faut offrir un bon show, mais à la fin, ce sont les deux points qui comptent. »

Après dix ans dans les rangs juniors, Roy a eu le temps de cultiver son style, mais il a expliqué avoir été inspiré par les entraîneurs qui sont passés sur son chemin durant sa carrière. Un ancien pilote du Canadien l'a particulièrement inspiré pour sur le jeu en défensive. « Pat Burns jouait un bon système défensif alors c'est sûr que je m'en inspire. Jacques Demers lui, avait une approche extraordinaire. Il nous parlait bien et je pense que c'est important de donner l'heure juste. »

Roy en plein contrôle
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