Selon notre collègue de TSN Ryan Rishaug, le gouvernement fédéral travaillerait sur une solution pour permettre aux trois marchés canadiens de rester dans la course pour devenir des « villes-bulles » pour la relance de la LNH.

La loi en vigueur actuellement stipule que quiconque entrant au Canada doit se soumettre à un isolement obligatoire de 14 jours, ce qui ferait d'Edmonton, Toronto et Vancouver des options moins viables aux yeux de la ligue pour les sélectionner comme « villes-bulles ».

Ottawa plancherait sur une solution à cet enjeu et Rishaug ajoute que plus de détails devraient être dévoilés dans les prochains jours. Ce changement pourrait aussi permettre aux équipes canadiennes de tenir leurs camps d'entraînement au nord de la frontière.

Le bras droit du commissaire Bettman, Bill Daly, a déjà dit qu'il serait difficile d'imaginer que la LNH puisse choisir un endroit où la loi exigerait que les joueurs et le personnel soient isolés pendant deux semaines à leur arrivée.

La ligue annonçait jeudi viser la date du 10 juillet pour le début de la phase 3 de son plan de relance, celle du début des camps d'entraînement. Le 26 mai, le plan de relance à 24 équipes dans deux endroits centralisés a été dévoilé par la ligue.

La saison de la LNH est suspendue depuis le 12 mars en raison de la pandémie de la COVID-19.